Gérard CHATIN était présent à cette réunion (de dos au 2ème rang) du 2 décembre 2023 à laquelle tous les grands électeurs de l’Oise . Le Sénateur Alexandre OUIZILLE a proposé que s’organisent autour de lui des groupes de travail d’élus de l’Oise autour de sujets locaux ou nationaux dont il fera remonter les propositions.
-Point de l’ordre du jour: 2) Délégation de Service Public (DSP) de l’accueil périscolaire, extrascolaire et de la restauration scolaire – Approbation d’un avenant relatif à la prolongation de la durée de la DSP.
Il s’agit de prolonger la délégation de service public (DSP) dont l’ILEP est titulaire jusqu’à la fin de cette année pour qu’elle puisse se poursuivre jusque août 2024. La Directrice de l’ILEP est toujours autour de la table et appelle même à voter pour cette prolongation, alors que le Maire semble lui proposer, un peu en plaisantant, il est vrai, de présenter le sujet?!… Il passe la parole à Christelle MARIN , adjointe aux finances, qui lit la proposition de délibération. Gérard CHATIN pose une question sur les difficultés invoquées dans la délibération, ce alors que, durant les mois de la fin 2022, l’exécutif a, à plusieurs reprises, évoqué cette remise sur le marché de cette DSP qui arrivait à son terme pour la fin de cette année. Si une réunion de Commission DSP a lieu, les causes du retard n’y ont pas été évoquées. Seul, le document de prolongation y a été travaillé. Le Maire rejette la faute du retard sur l’ADTO (Assistance Départementale pour le Territoires de l’Oise) qui aurait fait prendre ce retard « Nous ne gérons pas » avoue-t-il (on le savait un peu). Les quatre élus « Un Nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève » s’abstiendront sur ce point au regard de la négligence « risquée » de l’exécutif. En effet, cette prolongation pourrait être refusée par la Préfecture, un concurrent pourrait faire recours devant cette prolongation et l’insuffisance de ses justifications… La délibération est adoptée par 19 voix pour et donc 4 abstentions.
Pascal POULET, Maire de Lachapelle Saint-Pierre depuis 2020, précédemment adjoint, a été élu Président du SIAEP d’Ully Saint-Georges.
Le Syndicat Intercommunal d’Approvisionnement en Eau Potable d’Ully Saint-Georges (SIAEP) gère l’approvisionnement en eau potable des Communes de CAUVIGNY, DIEUDONNÉ, FOULANGUES, LACHAPELLE-SAINT-PIERRE, MOUCHY-LE-CHÂTEL, NEUILLY-EN-THELLE, NOVILLERS Les CAILLOUX, SAINTE-GENEVIÈVE et ULLY-SAINT-GEORGES. Son Conseil syndical est constitué de délégués des Communes, 3 pour la Commune de Sainte-Geneviève Pierre HAUTOT et Jean-Louis AGNES pour la majorité municipale et Fabrice DORE pour la liste « UN Nouvel Avenir ».
Suite au récent décès de Nicole ROBERT, Maire d’Ully Saint-Georges qui était également Présidente du SIAEP, il a été procédé à l’élection d’un nouveau Président et d’un nouveau bureau lors d’un Conseiller syndical qui s’est tenu le Mardi 14 Novembre 2023, à la Mairie d’Ully Saint-Georges. Deux candidats étaient en présence pour la présidence, Pascal POULET et Christian MINART. Quinze titulaires, seuls habilités à voter pour ce scrutin, étaient présents, parmi lesquels nos trois délégués de Sainte-Geneviève. Christian POULET a obtenu douze voix et Christian MINART trois. Une fois élu, le nouveau président a souhaité un bureau élargi aux Communes présentes, donc six Vice-Présidents. Jean-Louis AGNES a été élu 4ème Vice-Président. En matière d’indemnités, le Président a souhaité ne pas produire d’augmentation au total de ce qui était versé au précédent bureau constitué d’un Président et de deux Vice-Président. Chaque membre du bureau, Président ou Vice-Président, aura donc une indemnité de 224€. Il a également émis le souhait d’une équipe active et réactive pour préparer le transfert de la compétence « eau » à l’intercommunalité en 2026 comme prévu par la loi.
Pour présenter la réunion , Jean-Louis AGNES, les représentants d’ENEDIS et de l’entreprise qui fera les travaux
Jean-Louis AGNES engage la réunion en excusant le Maire qui est retenu par une réunion de la Communauté de Communes. Il présente les deux représentants d’ENEDIS ( à gauche sur la photo). Il rappelle que le réseau date de plus de 50ans, alors que les premières constructions du Blanc mont datent du début des années 60.
Il est annoncé que les travaux vont concerner les rues des Rosiers, des Aubépines, du Blanc mont, des Lilas et Bellevue. Ils commenceront d’ici une dizaine de jours par une réfection complète du tableau de la rue des Lilas (ancien square) et se poursuivront par un remplacement des coffrets d’alimentation situés à l’extérieur des habitations. Il n’y aura pas d’intervention en intérieur.
Ce début de présentation suscite quelques questions. Cela résoudra-t-il la question de la charges des véhicules électriques? Celle des baisses de tension subies dans les habitations? Les représentants d’ENEDIS rassurent sur ce point, l’objectif est de renforcer le réseau et donc la puissance distribuée.
L’entreprise qui va assurer les travaux de voirie informe qu’ils se dérouleront rue par rue et tronçon au sein de chaque rue, le stationnement sera interdit sur le côté en cours de travaux. Un courrier sera adressé 10 jours avant chaque tranche pour que les riverains s’organisent.
Ce point entraîne des réactions de riverains qui ont déjà connu les précédentes vagues de travaux et ont leur « véhicule bloqué pendant 2 jours ».
Suite à une question, il est révélé qu’il est difficile d’évaluer précisément la durée des travaux. Un engagement est donné de remettre les trottoirs en état après chaque fin de tronçon du chantier.
Un habitant évoque le problème de remplacement de l’alimentation d’une pompe de refoulement située rue des Aubépines, il lui est répondu, par l’adjoint à l’Urbanisme qui, curieusement, se trouve dans le public, en fond de salle, que ce remplacement a déjà été réalisé. La suite des débats laisse planer une incertitude à ce sujet.
Différents échanges autour des difficultés vécues du fait des travaux de la rue du Placeau ponctuent la réunion.
Jean-Louis AGNES conclura en indiquant que ces travaux n’étaient pas prévus par la Commune, « cela tombe mal » indique-t-il et qu’ENEDIS les réalise du fait de ses disponibilités budgétaires. Il précise qu’une information sera diffusée sur le quartier d’ici le 20 novembre 2023 et que si des problèmes se posent, il faudra voir avec ENEDIS et non avec la Mairie. Il rappelle que le seul désagrément important devrait consister en une coupure de courant prévue le 9 Janvier 2024 sur le quartier.
On reconnaîtra, au centre, Nadège LEFEBVRE, à sa gauche sur la photo, Daniel VEREECKE, Maire de Sainte-Geneviève, puis Benoît BIBERON, Conseiller départemental et Maire de Noailles, à droite de la Présidente, Pascal VERBEKE, Vice-Président du Conseil départemental en charge de l’insertion
Devant un auditoire constitué des élus du territoire concerné, la Président du Conseil départemental de l’Oise a, tout d’abord, présenté le processus basé sur la proximité et la mise en synergie des partenaires de l’emploi et de l’économie. Il repose sur 5 véhicules qui se répartissent le département. Chaque partie du territoire a un bus attribué avec une équipe de personnels spécialisés dans les questions de l’emploi, de la formation et de l’insertion.
Nadège LEFEBVRE a présenté le secteur du BUS 5 qui traite des Cantons de Chaumont-en-vexin (dans lequel Sainte-Geneviève est), Méru, Montataire, Chantilly et Nogent-sur-Oise. Ce secteur regroupe 109 Communes dont 62 ont été couvertes .
Il y a 15 560 demandeurs d’emploi dans le territoire du BUS 5. Il s’y est tenu 231 permanences et 734 personnes ont été reçues, 559 entretiens ont été tenus qui ont concernés 262 femmes et 252 hommes. La population touchée concerne 54% de formation au niveau du BAC ou supérieur à ce diplôme (27% supérieur au BAC, 27% au niveau du BAC), 29% au niveau CAP/BEP et 17% inférieur au CAP/BEP. 45% ont des personnes reçues ont trouvé un emploi ou une formation parmi lesquelles 90 (soit 34%) un emploi et 30 (soit 11%) une formation, 117 (44%) sont toujours en recherche. Dans ces résultats, 29 sont en CDI, 27 en CCD de moins de 6 mois, 22 en CDD de plus de 6 mois, 11 ont créer leur entreprise.
La Présidente du Conseil départemental de l’Oise a conclu son intervention en présentant l’équipe du BUS 5 et en rappelant que celle-ci se tient non seulement au service des habitants mais aussi des Maires et des élus intéressé(e)s.
Pour information, la prochaine permanence, à Sainte-Geneviève, Place de la Mairie, du Bus aura lieu le mardi 31 janvier 2024 de 14h à 16h30.
L’équipe du BUS 5 Pour l’emploi peut être contactée du lundi au vendredi au :
Cette réunion obtenue sous la pression de deux pétitions, l’une des joueurs de pétanque, l’autre des riverains, était tardive puisque les travaux sont commandés pour dans quelques jours. Elle venait expliquer ce qui aller être fait et qui avait été décidé, bien en amont, par un exécutif à court d’arguments allant jusqu’à utiliser le mensonge pour faire passer la pilule…
Cette implantation d’un skate-park sur le terrain affecté au Centre Yves MONTAND depuis près de 60 ans et sous convention emphytéotique entre la Commune et l’association de puis 1978 constitue une atteinte et une remise en cause du droit de l’association. Pour le moins, la Commune aurait dû demander un accord express au Centre Yves MONTAND. Mais quand on demande explication aux membres de l’exécutif, on a quelque chose qui correspond soit au plus gros mensonge que l’on puisse imaginer en la matière, ou la plus grosse erreur juridique, choisissez. En effet, il nous est répondu que « l’association ayant changé de nom, la convention n’est plus applicable ». Le patrimoine d’une personne est attachée à la personne, que ce soit une personne physique ou morale. Imaginez, quelqu’un (ou une société/une association) qui déciderait de changer de nom perdrait son patrimoine (maison(s), voiture(s), meuble(s), biens financiers….)! Où ont-ils vu jouer ça. Comme l’a si justement rappelé un dirigeant de l’association: « on est dans le cas d’un propriétaire qui entreprendrait des travaux importants sans l’accord, l’avis du locataire ». Ce qui n’est pas le cadre légal, surtout que les travaux en question se traduisent par une amputation de plus de 10% des droits sur le terrain et se traduiront par une gêne importante. Autre bizarrerie, le skate-park aura un portail ouvert sur un chemin privé. Là, on ne sait si l’autorisation a été obtenue du propriétaire? Tous ces points qui sont loin d’être des détails n’ont jamais été traités en Conseil municipal. Les décisions ont été imposées, par mensonges et fausses informations, à partir d’un Comité de pilotage dont les résultats, que ce soit au fil des travaux du Comité, ou à leur conclusion, n’ont jamais été rendus au Conseil municipal. Ensuite un « cabinet » est venu présenter ses conclusions, comme par hasard positive, à un Conseil dont les 16 majoritaires les ont adoptées. La techno en marche. Cette réalisation qui, au final, devrait aborder un coût de près de 400 000€, pour on ne sait pas combien de participants et dans quelles conditions (ils ont du mal à les expliquer) est un non sens par rapport à son lieu d’implantation, son irrespect du droit associatif, voire des droits des citoyens qui tout le long de la démarche ont été promenés (propriété, information, nuisances,…). Cette réunion tardive et qui n’ouvrait aucune perspective n’aura apporté que peu d’éclairage (on verra, on avisera disent nos membres de l’exécutif), elle aura permis à des élus, qui le demandent parfois depuis des mois, d’avoir un plan du projet, résultat bien médiocre au regard des nuisances à venir. Que l’association qui devrait bénéficier de cet équipement n’ait pas jugé bon d’être représentée est extrêmement regrettable. Il fallait peut-être un skate-park, ce n’était sûrement pas la priorité, il y a pleins d’autres besoins qui restent sans réponse, il y avait d’autres implantations possibles, elles ont été proposées et rejetées par l’exécutif municipal dont on est en droit de penser qu’il a toujours eu en tête de se réapproprier des terrains et des locaux dont ses membres disent que « ces terrains et locaux sont à eux et qu’ils en feront ce qu’ils veulent ». Il reste quelques jours pour faire recours sur cette opération.
On est en droit de se demander comment le rédacteur en chef de l’Info Génovéfine a pu rencontrer le Maire adjoint de Sainte-Geneviève « pour discuter de l’initiative d’installation d’une section de l’Outil en main » dont il est le Président. L’interview a dû se tenir devant un miroir? Comment peut-on entretenir à ce point l’ambiguïté et la confusion auto promotionnelles amplifiées par le fait de l’intervieweur – interviewé. La rédaction, le même, donne comme adresse courriel celle du 1er adjoint au Maire pour encore en rajouter. L’association a si peu de moyens qu’elle ne puisse se payer une adresse courriel? Cela peut pourtant même être gratuit. Il est vrai que quand on attribue des locaux à l’association que l’on préside sans passer par le Conseil municipal, on démontre le fond de pensées sur lequel on a l’intention de gérer…. Moi. Moi. Moi.
Alain BOSC, élu « Un Nouvel Avenir » a remis sa démission en juillet pour cause de déménagement. Parti rejoindre l’Aveyron depuis plusieurs mois, ayant gardé une assise sur notre Commune, il pensait pouvoir poursuivre son implication municipale, cela n’a pas été possible sur cette dernière année. Il a donc adressé sa démission à Monsieur le Maire, courant juillet, celle-ci devient effective, ce mois de septembre. C’est Sabrina MASCOMERE qui occupera le 4ème siège obtenu par l’élection à la liste, suite au départ de la Commune de Marie MALLIFAUD et de Robert BECQUE. Sabrina occupait la 7ème place sur la liste. Bienvenue à elle pour le prochain Conseil municipal, et bonne implantation dans l’Aveyron à Alain où il a déjà trouvé à s’impliquer comme correspondant dans la presse locale ce qui montre tout son intérêt pour la vie locale.
Oui, il fallait un Conseil municipal des jeunes, nous en aurions fait un. Mais un vrai, mais avec des membres élus comme ce doit être la règle et non désignés comme cela a été le cas, avec des séances publiques et non en catimini comme cela se fait… Commencer la formation citoyenne de nos jeunes en leur faisant transgresser les règles de l’élection n’est pas vraiment exemplaire. Nous dire qu’ils défendent de beaux projets, c’est bien, nous dire quels sont ces beaux projets, ce serait bien mieux. Leur donner la parole plutôt que de leur confisquer par cette article, cela aurait été mieux. Installé un Conseil en respectant l’élection, la mise en place, le débat public, c’est cela qui aurait été la vraie découverte de nos institutions et de la démocratie. Le chemin pris, pour démarrer, pour l’instant, est loin de cette belle image.
Par ailleurs, la volonté de dialogue du Conseil municipal avec la population, jeunes ou moins jeunes, elle commence par mettre les élus, tous les élus dans le coup, ensuite de faire des réunions publiques avec la population, pas seulement quand tout est décidé, juste pour présenter ce qui va être fait, mais dans la phase préparatoire des projets. Pour le moment, là encore, sur ces 3 ans de mandat, la démonstration de cette volonté n’est pas au rendez-vous.
En se faisant cette réponse à sa propre publication, Daniel VEREECKE oublie-t-il complètement où il était ces quelques 15 dernières années? Après avoir tergiversé entre de multiples listes au travers des échéances depuis au moins 1989, il entre, en 2008, dans la liste de Jacqueline VANBERSEL qui engageait son 3ème mandat. Il est élu Conseiller municipal au sein de cette liste… il vote tout, sans jamais faire de proposition différente, sans jamais se distinguer dans quelque domaine que ce soit. Après avoir participer de l’élimination de quelques autres prétendants qui le gênaient, il se représente avec Jacqueline VANBERSEL et devient son 1er en 2014. Là encore aucune expression différente jusque début 2019 où avec l’aide de Pierre HAUTOT, alors Conseiller municipal majoritaire, aujourd’hui son 1er adjoint, ils tentent de faire tomber la Maire sans y parvenir. Quelle moralité, Jacqueline VANBERSEL avait dû s’absenter quelques semaines pour raison de santé. Destitué, Daniel VEREECKE et les siens ont continué à voter la totalité des budgets, des propositions. Quel était donc l’objectif de cette « dissidence » puisqu’aucune différence ne s’est exprimée clairement? Pourquoi rejoint-on une équipe qui aurait si peu fait « depuis des dizaines d’années »? Pourquoi y tente-t-il un « coup d’état » puisqu’il n’y propose rien de nouveau?
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Non contents de s’amuser avec les minoritaires à chaque préparation de publication du bulletin les majoritaires bafouent l’esprit de la loi en s’attribuant un espace d’expression sur ce bulletin. Lors du vote du règlement intérieur, ils ont inclus cette possibilité qui va au delà de l’esprit de la loi. C’est l’une des raisons, parmi d’autres, pour lesquelles les élus minoritaires n’ont pas voté ce règlement. Le législateur considérant, à juste titre, que le Maire et sa majorité ont déjà tout le bulletin pour s’exprimer, seuls les élus se distinguant de la majorité ont ce droit par l’article L.2121-27-1 du CGCT.
L’article L 2121-27-1 du CGCT dispose : « Dans les communes de 1 000 habitants et plus, lorsque des informations générales sur les réalisations et sur la gestion du conseil municipal sont diffusées par la commune, un espace est réservé à l’expression des conseillers élus sur une liste autre que celle ayant obtenu le plus de voix lors du dernier renouvellement du conseil municipal ou ayant déclaré ne pas appartenir à la majorité municipale.
Les modalités d’application du présent article sont définies par le règlement intérieur du conseil municipal. »
Après l’article paru le 14 juin dernier, Le Courrier revient sur les questions qui font sujets actuellement sur notre Commune. Les élus minoritaires ont été rencontrés, une association locale également. La question du skatepark se pose alors que toute la concertation nécessaire en terme d’emplacement, notamment, d’utilité, par ailleurs n’a pas été au rendez-vous. Dépenser près de 350 000€ pour une association qui n’a pas d’assise locale (la majorité du bureau habite autour de Méru) et que nos associations locales (Centre Yves MONTAND, Tennis Club et USSG, notamment…) fortes d’une histoire et d’un rayonnement qui n’est pas à démontrer attendent des réponses à des besoins évidents (dojo, courts couverts, terrain synthétique, …. entre autres).
Les pompiers et les services de secours sont intervenus longuement sur cet accident qui a eu lieu le 30 juin 2023, vers 20h15. Deux véhicules on fait un face à face dans la Rue de Méru, l’un montant, l’autre descendant. Il n’y aurait pas eu de victime.
Les riverains se plaignent souvent et, souvent à juste titre des vitesses excessives des véhicules sur nos rues et particulièrement sur celles-ci, Rue de Méru, Noailles et Laboissière, entrée de village, mais pas que. Vigilance, respect des vitesses et priorités sont les maîtres mots de la sécurité.
Suite à la découpe d’un terrain, une nouvelle ouverture a été pratiquée. « Exécuté » de façon non conformes aux règles en vigueur et à la sécurité. A la demande de riverains, Gérard CHATIN a signalé, le 13 juillet, les faits au Maire et aux adjoints concernés la situation. Il lui a été répondu par le Directeur Général des Services, le jour même, que la Police municipale était sur le dossier depuis une quinzaine de jours mais que l’on reste sans nouvelle de la part du propriétaire. A suivre.
Avec l’aide de l’AELO, ce questionnaire a été proposé à plusieurs centaines d’élus (pas uniquement des adhérents de notre association) début 2023 et c’est finalement près de 500 élus qui y ont répondu, soit un échantillon tout à fait conséquent.
Les résultats de ce 1er baromètre, destiné à avoir régulièrement d’autres éditions ultérieures, sont édifiants… Ils ont été présentés à l’Assemblée Générale de l’AELO du 3 juin dernier à Paris.
À titre d’exemple, quelques enseignements malheureusement bien significatifs :
91,2 % des élus répondants estiment que leurs propositions ne sont jamais écoutées par leur Maire
Seuls 21,7 % d’entre eux sont invités à toutes les manifestations organisées par leur Mairie
91,1 % n’ont accès pour communiquer sur les médias municipaux qu’à une tribune dans le magazine municipal, malgré la loi, et seuls 11,3 % d’entre eux peuvent publier sur les réseaux sociaux de la commune
La note moyenne attribuée à la relation avec leur Maire est de 2,4 sur 10…
La presse a rendu compte de ce baromètre de la démocratie, au niveau national comme dans la « Gazette des communes », dans « Challenges », comme au niveau régional (ci-dessous dans le « Courrier des Yvelines »).
Vous trouverez le détail complet des résultats de ce questionnaire et son analyse par leurs auteurs.
En introduction de l’article, il est question de l’abandon d’un projet de salle qui aurait été abandonné du fait de la position d’un Commissaire enquêteur. Un Commissaire enquêteur n’a pas nécessairement à se prononcer sur un projet de salle des fêtes. En l’occurrence, il a eu à intervenir pour la modification du PLU de la Commune qui transformait des terres classées agricoles (dont certaines dans la proximité du Maire) en les classant en zone d’activité économique pour sa partie la plus importante. Cette modification opérée sans concertation avec la Communauté de Communes concernée (par l’éventuel devenir économique), les Chambres consulaires et quelques autres interlocuteurs a soulevé la protestation de nombre de riverains. La question d’une salle des fêtes qui n’aurait occupé, de toutes façons, que 700 mètre2 sur les près de 8ha concernés est venue bien après, au regard de l’insuccès de l’enquête. Par ailleurs, des membres de la majorité ont fait courir le bruit que l’échec de cette révision aurait empêché l’implantation de courts de tennis couverts, il n’en a jamais été question. Encore une invention de l’exécutif et de sa majorité. Le Commissaire enquêteur s’est prononcé contre cette transformation notamment vis-à-vis de la dangerosité du projet, implantation d’une zone d’activité sur une route insuffisamment adaptée. Vous trouverez le rapport du Commissaire enquêteur sur ce lien : https://www.legenovefain.net/wp-content/uploads/2022/01/point-06-PLU-rapport-du-commissaire-enquUteur-modification-n%E2%96%913.pdf
Le deuxième paragraphe porte sur un projet médiathèque. Cette médiathèque serait construite pour une population de 10 000habitants, Sainte-Geneviève en compte 3 500. Le Maire et son équipe n’ont rien fait pour impliquer les Communes voisines dans le projet. C’est la principale critique qui est faite à la démarche. De même à des questions posées par les élus minoritaires sur le coût de fonctionnement annuel, le Maire et son équipe sont restés très imprécis annonçant un niveau de 100 000€ alors que l’on peut assez facilement l’évaluer au moins au triple de cette somme. Il faut rappeler au Courrier picard qu’il y a deux listes minoritaires à Sainte-Geneviève, dont le résultat des élections s’est posé à à peine vingt voix entre chacune des 3 listes sur près de 2 100 électeurs. Les 4 élus « Un Nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève » (2ème en voix), dont je suis, se sont abstenus sur ce projet face à l’imprécision et aux manques de garantie, ils ont aussi regretté le manque de concertation avec les associations, notamment à caractère culturel mais aussi avec les Communes voisines. Les 3 élus « Force Développement – Progressons Ensemble » (3ème en voix, liste de l’ancienne maire) ont voté contre en raison du surdimensionnement du projet, le manque de garantie sur les subventions et le coût du fonctionnement imprécis. Il serait de bonne pratique pour le journal d’interroger ces listes minoritaires plutôt que de parler à leur place . Par ailleurs, sur ce point, le journal évoque une décision qui serait prise le 23 juin, bien qu’élu minoritaire, Gérard CHATIN est membre du Jury de Concours qui devra choisir l’architecte, or il n’a aucune information pour cette réunion que le Maire lui annonçait, il y a quelques jours pour le 29 juin, il s’agit d’appel d’offres, tout cela il faudrait peut-être être plus rigoureux.
Il y aurait moins de commentaires, mais beaucoup à dire, à propos du skate-park qui est pourtant un sujet de polémique sur la Commune, réalisé sans réel avis des personnes concernées notamment l’association Centre Yves MONTAND, cette démarche remet en cause l’indépendance de l’association et ses droits acquis sur un local et ses terrains depuis près de 50 ans par une convention signée entre la Commune et l’association.
A propos de la résidence « seniors », il est nécessaire de préciser qu’il serait plus juste de parler de logements puisqu’il n’y aura ni encadrement social ou médical, mais juste des logements au départ spécifiquement attribués à des personnes âgées. Après, on verra, c’est ce que disent les élus majoritaires.
Pour conclure, que ce qui constitue le seul quotidien départemental et régional local relaye la propagande mensongères d’une majorité municipale est dommage. Le Courrier picard aurait dû vérifier les informations qui lui étaient transmises, il y a des documents pour ça, et interroger les deux listes minoritaires pour connaître leurs positions réelles, leurs points de vue. Contacté par téléphone et par courriel à plusieurs reprises, une visite à l’agence de Beauvais a permis d’obtenir un engagement d’un article en réponse .
Il est dommage que la majorité ait à passer par des mensonges pour faire passer la pilule d’un bilan de mi-mandat somme toute assez désastreux.
Les deux principaux élus de l’exécutif, le Maire et son 1er adjoint, pourtant chargé de la communication, ont communiqué avec l’Observateur de Beauvais et dans les articles parus dans l’édition du 19 mai, ils annoncent une réunion du Jury de concours qui devait se tenir le 25 mai sans que les membres du Jury aient été invités, ni même informés. Renseignement pris la réunion de ce Jury aurait lieu aux environs du 22-23 juin.
Curieusement, ce plutôt bon journal publie le résultat (partiellement) des jeux inter-villages du 14 mai et annonce Sainte-Geneviève en second, alors que, certes malheureusement, nous sommes arrivés dernier. On fera mieux la prochaine fois. Monsieur le Maire, Monsieur le 1er adjoint, chargé de la Communication, c’est pas la peine de raconter des histoires. La vérité, c’est mieux.
Le 14 Juin 2022, Gérard CHATIN au nom du groupe « Un Nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève » posait la question de la réalisation des passeports et papiers d’identité dans notre Commune… Les élus majoritaires, exécutif en tête, comme trop souvent, semblaient s’en moquer. La Commune de Hermes (2 500habitants) l’a fait. Les Génovéfains attendront encore.