– Point de l’ordre du jour, questions des élus, Question posée par Gérard CHATIN au nom des élus « Un Nouvel Avenir »: c) Monsieur le Maire, allez-vous déménager ? Des rumeurs subsistent et perdurent même de l’implantation d’un commerce de type LIDL ou ALDI sur les terrains DENIS avec des logements sociaux au-dessus. Après une telle implantation à cet endroit, à quelques centaines de mètres de chez vous, notre Commune ne serait plus le charmant petit village que vous disiez apprécier tant. Les conséquences sur les autres commerces, notamment les petits commerces, ont-t-elles été évaluées ?
Daniel VEREECKE prend assez bien la note d’humour sur la question de déménager et répond par la négative à ce sujet, il ne déménagera pas. Par contre, il ne répond pas sur le charme de notre commune qui se perdrait en cas de transformation des terrains DENIS en zone commercial. Mais le débat qui s’ensuit à propos des rumeurs posées est assez extravagant. Personne dans la majorité ne semble comprendre les inquiétudes des commerçants. On parle d’emplois créés, sans regarder quels types d’emplois. Que ce débat n’ait pas lieu dans les instances (commissions) municipales ne gêne aucun élu majoritaire. Par contre, pour l’adjoint à l’urbanisme, la question aurait dû être posée en Commission urbanisme comme cela le débat n’aurait pas été public. Donc ils rejettent les rumeurs mais ne rejettent pas qu’elles puissent être fondées puisqu’ils en valident l’intérêt du fond. On les prospecte ou ils prospectent sur ce sujet et dans le sens de ces rumeurs. Avec cette majorité c’est le flou qui gouverne. Le Maire ose nous déclarer que l’on découvrira lorsque ce sera bouclé ou presque. Mais le plus curieux dans tout cela, c’est que l’exécutif mais même l’ensemble du Conseil dans ce débat oublient qu’ils ont délégué la préemption de ces terrains avec des objectifs et des obligations précises signés avec l’EPFLO. De ce point de vue, ces échanges sont surréalistes et ça c’est du concret. Apparemment pour cette majorité voter des délibérations et signer des conventions ne représentent rien, n’a aucune valeur.
Une réunion organisée, ce Mercredi 15 Mai 2024, à 20h30, Salle polyvalente « Bouton de nacre » par les élus « Un Nouvel Avenir » à propos du site DENIS a permis à plus d’une vingtaine de riverains et habitants de divers quartiers de la Commune de s’exprimer sur les besoins et souhaits qu’ils pouvaient ressentir. La présence de deux élus de l’exécutif municipal, le premier adjoint, Pierre HAUTOT, et la Conseillère déléguée à la vie locale, Corinne KAPUSTA, qui s’étaient invités, a pimenté le débat.
L’illégalité d’un sondage sous couvert de démocratie?
Les élus « Un Nouvel Avenir » ont engagé les débats à partir des éléments des votes, par le Conseil municipal, des délibérations du 30 Juin 2014 et du 9 Septembre 2021, les commentant et invoquant l’aspect illégal du sondage adressé à l’ensemble de la population. Ils ont rappelé la demande exprimée auprès des membres de la Commission urbanisme début 2023, de projets pour ce terrain. A la réunion suivante, les élus « Un Nouvel Avenir » avaient proposé un projet comprenant: une Mairie de 600m2, l’actuelle étant quel que peu saturée; 16 logements comme l’impose la convention avec l’EPFLO, le tout dans des espaces verts et dans un esprit de recréation d’un centre bourg, le consensus existant qu’il n’y a pas vraiment de centre actuellement. Ce projet respectait le cadre de la préemption publique. Le 1er adjoint a prétexté l’aspect démocratique de la démarche. Il lui a été rappelé qu’au regard des deux délibérations prises, de la loi et de la convention avec l’EPFLO, faire une enquête tendait à démontrer qu’il n’y avait pas de projet initial, d’une part, introduire la possibilité de commerces était contraire aux délibérations prises, ce d’autant dans une Commune relativement bien dotée dans ce domaine, et pouvait faire prendre des risques économiques aux commerces et à la Commune qui pourrait connaître des procès avec des acteurs potentiels de la préemption se sentant lésés par une procédure publique désormais viciée par ce sondage dont le 1er adjoint a dit qu’il n’en serait pas tenu compte si les réponses étaient impossibles de réalisation.
Un magasin low cost…
La question de l’implantation d’un Lidl a aussi été abordée sous l’angle économique et juridique, deux supermarchés ne sauraient être supportés par une Commune de notre taille selon les élus « Un Nouvel Avenir », pour le 1er adjoint, il faut de la concurrence. Après le départ d’un habitant qui souhaitait plus d’écoute que de prise de parole par l’exécutif local, la réunion a pris le cours normal qui lui était assigné, faire s’exprimer les habitants.
L’ensemble des personnes présentes ont s’exprimer clairement. Plusieurs expressions ont été dans le sens de la création d’un crèche ou d’une micro-crèche, d’autres ont retenu l’idée de Mairie, le besoin de places de stationnement publics a été exprimé, pratiquement toutes les interventions ont été dans le sens du refus d’une espèce de « banlieurisation » de notre Commune et de limiter la construction de logements. Il fallait du vert, de l’espace vert, ….. A la question posée au 1er adjoint: « Combien de demandes de logements dans la Commune? », sa réponse fut: » 60 à 80 demandes », il y a donc un réel besoin.
Une finale consensuelle mais…
Si la réunion s’est terminée dans un esprit consensuel vers 22h45, les discussions se sont poursuivies entre bon nombre de participants pendant près d’une heure encore. La démonstration est faite de la nécessité d’un débat entre les habitants et d’une écoute des élus. Ce cadre correspond au projet des élu(e)s « Un Nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève.
Autour de cette réunion, les élus « Un Nouvel Avenir » ont pu apprendre que toutes les maisons attenantes au terrain DENIS dans la Rue du Centre plus quelques unes sur la Nationale avaient reçu des offres d’achat partielles ou totales de leur propriété par un promoteur LIDL. Il y a de quoi s’inquiéter.
Cet article porte sur la question suivante posée par Fabrice DORE: a) Sur le site de la mairie depuis le 24 février figure l’ensemble des documents concernant la 3ème modification du Plan Local d’Urbanisme voté en conseil municipal le 26 janvier 2022. Il apparaît notamment un document d’Orientations d’Aménagement et de Programmation portant la mention « approbation » comme faisant partie intégrante de la dite modification. En première page de ce document il est écrit :
Fabrice DORE posant sa question et présentant le document dont il conteste, à juste titre qu’il ait été présenté au Conseil municipal
« Vu pour être annexé à la délibération du conseil municipal en date du 26 janvier 2022 approuvant la 3ème modification du Plan Local d’Urbanisme. »
Or, ce document n’a jamais été annexé à la délibération du 26 janvier et n’apparaît pas dans les points de modification proposés du point n°6 de l’ordre du jour. La question se pose donc de la validité de cette délibération. Comment expliquez-vous la présence de ce document par conséquent non-conforme sur le site de la mairie d’autant qu’il contient le projet d’une extension importante de la zone commerciale en centre-bourg entre le Super U et la rue de la Chapelle ?
Alors que sa question est tout à fait légitime et fondée, un document qui n’a pas été présenté au Conseil municipal es mis sur le site de la Commune est sur le site de la Commune alors qu’il n’a pas été présenté au Conseil pas plus qu’en Commission. Il se voit reproché d’être trop récent à Sainte-Geneviève, que ce document date de 2012, voilà le niveau de tolérance de ces majoritaires qui ne répondent pas à la question et conspuent l’élu, Fabrice DORE, qui la pose . Ce document qui apparait comme ayant été présenté au Conseil ne l’a jamais été. Il évoque une évolution de la zone d’activité commerciale inquiétante qui ne figure même pas dans la délibération. Les riverains apprécieront comment qu’ils peuvent se poser légitimement est traitée.
Mémoire du 30 septembre 2021Vous souvenez-vous de cette journée ? Quinze chartes Qualité étaient remises par la CMA au siège de la Thelloise à Neuilly-en-Thelle et la Cie des Dramaticules interprétait Hamlet à la salle Balasko de Chambly… Retour en images sur cette journée. Deux de nos artisans et commerçants Génovéfains sont honorés.
Beaucoup se demandent ce qui se passent dans l’ancienne boucherie, au coin de la Rue Maurice BLED et de de la Nationale, Le Génovéfain.Net vous l’annonce, un nouveau commerce s’installe et ouvrira en septembre, une poissonnerie.
Les propos de Mme Jacqueline VANBERSEL, Maire de Ste Geneviève, rapportés dans la presse locale, nous interrogent sur leur caractère outrancier et même mensonger ; dommage qu’un magistrat élu à ce niveau, se permette ces égarements ;
En effet :
Tout d’abord, faire référence à notre commune, soit disant à l’image de Beyrouth avant qu’elle ne…prenne le pouvoir, comme si Sainte Geneviève n’était, avant elle, qu’un champ de ruines, c’est pour le moins outrancier, car d’une part, c’est faire insulte aux personnes qui ont vécu au Liban sous les bombes et dans des maisons détruites à cette époque (et je sais de quoi je parle !), et c’est d’autre part, sans commune mesure avec la vie tranquille et prospère de notre commune à cette époque, même dans les années 68 – 90 !
Par ailleurs, affirmer qu’il n’y avait « plus une boutique » c’est vouloir plonger dans l’oubli tous les commerçants dévoués que les anciens appréciaient déjà à l’époque : les boucheries, boulangeries, la coop, la boutique de vêtements de M. Mme Joron, le magasin de bricolage de M. Hernu, le commerce de bois de M. Denis, garages, station service, fleurs, restaurant, etc. Beaucoup de commerces étaient déjà là, ils ont simplement évolué, se sont développés, et c’est normal ! Cette communauté déjà très active avait juste peur que le SuperU arrivant, ne leur fasse de l’ombre !.. en fait, rien ne les a empêché de poursuivre leur développement et c’est heureux.
Enfin, si Jacqueline Vanbersel a été nommée en 2009 Chevalier dans l’Ordre National du mérite, au même titre d’ailleurs que son ex-adjointe Mme Baillon, elle s’attribue la Légion d’Honneur dont personne n’a jamais été informé, ni connu l’existence, et qui ne figure d’ailleurs pas sur la liste officielle ! S’attribuer à tort ce genre de prestigieuse décoration dénoterait peut-être un besoin inassouvi d’artifices pour arriver à se mettre en valeur comme si elle pensait elle-même que ses seules actions ne suffisaient pas à prouver son efficacité. Par ailleurs, se prévaloir de ce genre de décoration est fortement sanctionné par la loi.
Perte de mémoire, mélange des genres, ou volonté de travestir la réalité ? Les électeurs jugeront…
La question 2 qui était « Dans quel domaine? » a produit une telle diversité de réponses qu’elles n’offrent aucun axe de travail sérieux. Peut-être a-t-elle été mal posée?
Cela fait 4,85 de moyenne
Les réponses à cette enquête ne peuvent être considérées comme
représentatives de l’opinion globale tant les quelques dizaines de
personnes qui ont répondu sont insuffisantes pour que cela y prétende.
Toutefois, le niveau de réponses tranchées permet de considérer comme
intéressantes les orientations concernées.
En respect à leurs auteurs, les réponses rédigées ont été laissées dans leur rédaction initiale
Madame le Maire spolie nos boulangers par voie d’affiche et de courriers alors que c’est dans les pouvoirs de police du Maire comme c’est présenté dans cet extrait d’un Power Point de l’AMF (Association des Maires de France) qui aborde l’article L.2212 du CGCT (Code Général des Collectivités Territoriales).
Drôle de méthode de promotion et de soutien aux commerces locaux!?…
La concertation, elle ne sait sans doute pas ce que sait….