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ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Commerce local, des inquiétudes ?!…. (article de la page 8 de notre bulletin de mars 2018)

Notre Commune a longtemps connu une situation dans laquelle le niveau d’emplois était très satisfaisant. C’est ainsi que jusqu’au milieu des années 90, nous comptions plus de 100 emplois, et même jusqu’à près de 120, pour 100 personnes actives. La baisse d’effectifs, la fermeture de nombre d’entreprises (voir tableau joint) a fortement détérioré notre situation cependant que notre population a augmenté. C’est d’ailleurs l’un des traits notables à prendre en compte dans notre sociologie. Il fut un temps où on venait dans notre Commune parce que l’on y avait trouvé un emploi souvent même de qualité, ce n’est que très rarement le cas aujourd’hui, avec toutes les questions de transport, de vie sociale, économiques et financières que cela pose. Certes la crise économique est passée par là. Désormais, il n’est pas question ici de ne mettre en cause que des responsabilités locales.
L’action économique est gérée désormais par l’intercommunalité. Nos représentants, Madame le Maire qui est aussi Vice-Présidente de l’intercommunalité, son 1er Adjoint pour la majorité et Thierry REMOND pour la liste un Nouvel Avenir ont donc à assurer l’expression des intérêts de notre Commune au sein de la Communauté du Pays de Thelle devenue Thelloise depuis 2017.
Il faut aujourd’hui penser local et agir global. Le projet d’une zone commerciale importante, avec un supermarché, sur Noailles, ne peut, de ce point de vue que soulever de fortes inquiétudes aux génovéfaines et génovéfains. Selon les spécialistes de ce domaine commercial, il faut 15 000 habitants pour faire un tel magasin. Nous sommes loin du compte avec environ 22 000 (sur l’ancien canton de Noailles zone de chalandise cohérente) et 2 magasins (Sainte-Geneviève et Hermes actuellement) plus un à venir, comment les faire vivre correctement tous ? Une autre question se pose, comment nos représentants à l’intercommunalité ont-ils réagi, comment ont-ils voté face à ce projet présenté ?

Les emplois disparus depuis une vingtaine d’années  (les éléments de ce tableau sont évalués mais ne prennent pas en compte les emplois induits):

 

ACTUALITES Les Commentaires LES COMMENTAIRES
Un commentaire reçu de Philippe MARCOTTE

Comme beaucoup nous sommes surpris d une signalisation incompréhensible aux abords de l école Roger Pauchet.
Lorsque vous venez de la RD 1001 et que vous empruntez la rue Maurice Bled en descendant vous tombez brutalement sur un stop sans qu’ un panneau de pré signalisation placé généralement 150m en amont n annonce ce stop.De plus aucun panneau sur cette même voie n annonce pas plus une interdiction de tourner à droite vous interdisant de remonter la rue située à votre droite hors un sens interdit a été installé sur cette voie. La Zone 30 est installée après l école Roger Pauchet alors qu un plateau ralentisseur vient d’être réalisé, des potelets ont été mis devant cette même école à la place de barrières. Un trottoir rétrécit côté école et élargi à l opposé. Écoliers, parents d élèves soyez prudents, vous êtes en danger.
Il est bien de vouloir sécuriser les écoliers mais encore faut il bien réfléchir sur les aménagements en l état actuel de la nouvelle réalisation en cas d accident (ne le souhaitons pas), la municipalité serait mise en cause du fait de ces différentes anomalies. Il est dommage d avoir fait une telle dépense pour un tel résultat. BON COURAGE

ACTUALITES NOS ECHOS DU CONSEIL
Nos échos du Conseil du 10 avril 2018

5 personnes dans le public pas de représentant de la presse.

Le quorum est atteint à 20h35.

Nos Echos du Conseil en téléchargeable PDF

Avant que la séance commence, Madame le Maire trie ses pouvoirs et échange avec Daniel VEREECKE à qui elle propose de donner le pouvoir d’Eric MAURIERAS à Thierry REMOND, ils semblent d’accord. Elle appelle Thierry REMOND qui accepte avec un sourire radieux.

Commentaire : A quoi rime ce besoin de donner un pouvoir d’un Conseiller de la majorité à un élu de l’opposition (si tant est que ce dernier en soit encore) sans qu’il soit utile de donner ce pouvoir puisque les majoritaires le sont dans l’assemblée présente.

 Madame le Maire propose à Amélie LIARD d’être secrétaire de séance, celle-ci est d’abord surprise, voire gênée. Alors qu’elle finit par accepter, elle reçoit comme argument de Beriza ZIEGLER qu’il ne s’agit que de valider le compte rendu.

 

Etaient présents: Jacqueline VANBERSEL, Georges BERSON, Jacky BEAUDOIR, Dominique LABARRE, Beriza ZIEGLER, Christèle MARIN, Pierre HAUTOT, Pascal BREBANT, Éric MAURIERAS (arrivé à 21h45 env.), Josiane CHAROPPIN pour la liste « Une équipe forte pour agir ensemble » (EFAE);

Gérard CHATIN et Patricia BARBIER, Thierry RE Lire la suite

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Va-t-on dénommer notre école « Les jolis pommiers »?

Le chantier du restaurant scolaire ne devait pas toucher à la cour de l’école, c’était la réponse de l’exécutif municipal à la question posée à Daniel VEREECKE lors de  sa présentation des travaux en Conseil municipal qu’il présidait le 23 janvier dernier en l’absence de Madame le Maire… Les pommiers de l’école maternelle sont, en ce moment, arrachés….

        

Il est utile de préciser à ceux de la majorité municipale qui interdisent en tous sens et de façon non fondée  que ces photos ont été prises en dehors du champ scolaire.

 

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Dernières tranches d’assainissement et mis en séparatif du Blanc Mont (article de la page 7 du bulletin de mars 2018)::

la double peine…. Et encore +

Ces travaux qui étaient considérés par tous comme une priorité par Sainte-Geneviève déjà en 1995 se réalisent enfin. Maintes fois reportés. Combien de fois faudra-t-il rappeler que si cette majorité avait respecté le rythme d’exécution d’une tranche d’assainissement tous les deux à trois ans suivi par ses prédécesseurs, c’est au plus tard en 2000 ou 2002 que ces travaux auraient été effectués. Or, en plus de 22 ans de présence au pouvoir, cette majorité qui trouvait que ces prédécesseurs n’allaient pas assez vite, n’ont réalisé qu’une tranche tous les sept ans en moyenne. Nous ne devons pas avoir les mêmes compteurs…. On appréciera encore le sens des priorités…
Mais, en plus, ce retard n’est pas sans conséquence, surtout pour les génovéfains concernés. Les travaux d’assainissement sur le Petit Fercourt, en octobre 2006, avaient été bien accompagnés financièrement selon l’expression même des riverains. Or, les aides aux travaux auraient baissé de l’ordre de 50%. Alors, elles n’étaient pas conditionnées au niveau de revenus, elles le seraient désormais depuis peu. Le 26 janvier dernier, lors d’une réunion publique en direction des habitants des quartiers concernés par cette dernière tranche d’assainissement, le représentant de l’intercommunalité a été très évasif pour répondre aux riverains qui l’interrogeaient sur le coût de branchement. Sa réponse « Il y a 4 500 000€ de travaux dont 2 000 000 restent à la charge des usagers », faites les comptes, c’est enthousiasmant. Quand on sait qu’auparavant la taxe de raccordement était de 2 500€ par branchement, tarif encore annoncé lors de la réunion publique qui s’était tenue le 31 mai 2017, on appréciera l’augmentation. Là encore, on attend les interventions, les choix de nos représentants à l’intercommunalité… !
Pour ce qui est de la mise en séparatif du Blanc mont, le sujet est un peu le même. La priorité est tout aussi ancienne. Elle consistait à ce que les eaux pluviales qui étaient rejetées dans le réseau d’assainissement depuis le début des années 60, période où il avait été réalisé, soient renvoyées vers un réseau séparé. Seul ce quartier était concerné. Lors de la réunion, déjà citée du 31 mai, le flou artistique a été entretenu sur les conséquences financières de ces travaux pour les riverains. Une réunion était promise pour l’automne, quel automne ? Les travaux sont encore en cours. Ils ont mis à mal chaussées et trottoirs et causé des perturbations dans le quartier.


Les évaluations de travaux réalisées par VEOLIA pour les habitants du Blanc Mont font apparaître que les aides seront, là encore, conditionnées. Notamment celle de l’Agence de l’Eau qui le sera au fait que 80% des propriétaires concernés s’engagent à faire les travaux ?!…

Précision figurant au bas des devis VEOLIA:

Les années de retard prises par cette municipalité dans la réalisation de ces chantiers, urgents et prioritaires depuis au moins 25 a

ns, pèseront donc sur les finances de nos concitoyens. Le pire, c’est que le montant de leur note n’est même pas encore vraiment connu par ceux que cela concerne.

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
A défaut d’être tombés dans les panneaux, ils les ont découverts…. essais d’urbanisme déconcertant….

Il aura fallu plusieurs mois pour passer de ça

 

à ça…. Ils ont enfin découvert les panneaux et nous avec…

C’est l’histoire d’une rue, qui est interdite en descendant et donc en sens unique, dans laquelle il y a un petit parking et 4 ou 5 habitations, et qui devient sans aucune information du Conseil municipal, de la Commission urbanisme,  voire d’autres…. en sens interdit sauf riverains en montant. Qui plus est pour compliquer les choses et l’incompréhension, on y installe à son entrée un panneau interdit sous titré 50m, que cela veut-il dire? sur 50m, à 50m, cherchez l’erreur sachant que quelques dizaines de mètres plus loin, au-delà du petit parking il y a un panneau interdit sauf riverains. Sachant que sur la rue qui croise notre petite rue, on a installé un stop qui permet donc aux voitures qui viendraient du parking de bénéficier d’une sécurité que l’on trouve nulle part ailleurs dans notre Commune surtout  quand on considère le complément d’une classe qui permet (peut-être) de voir si un véhicule vient du parking

              

Par qui, pour qui, comment ont été faits de tels choix?

A ce prix d’imagination, on est pas prêt de sécuriser notre Commune, peut-être d’ailleurs n’y circulerons nous plus, avec tous ces stops, ces rues à double sens interdits?

Un peu de littérature sur le sujet:

Cet article est à mettre en exergue de la publication de notre bulletin de Mars (article de la page 6)

 

ACTUALITES
Pratiques municipales non transparentes… aménagements et travaux non concertés (l’article de la page 6 du bulletin de mars 2018):

S’il y avait une première chose à changer dans cette équipe municipale c’est son processus de décision. En effet, celui-ci est fortement empreint de manque de concertation, de manque d’information interne ou externe. C’est ainsi que des travaux structurants pour du très long terme tels que ceux en cours sur les rues Maurice BLED, Canton de Beaupréau et Laboissière n’ont jamais été abordés en Commission d’Urbanisme dont ils dépendent avant de passer en Commission Travaux et sont  à peine présentés en Conseil municipal, que, encore, l’on voit des rues changer leurs sens de priorité (stop), de possibilité d’y circuler (sens interdit sauf riverains, notion bien plus difficile à appliquer qu’on ne le croit) sans qu’aucun débat public n’ait eu lieu avec les riverains, dans les Commissions concernées et pas plus qu’en Conseil municipal. Certaines rues sont refaites alors que d’autres n’ont pas fait l’objet d’aucun chantier depuis des années. Quelle instance prend ces décisions, quelles priorités?

 
Au bas de la rue du 7 juin, un panneau caché  installé depuis des semaines (à la date du 18/03/18),  qu’en sera-t-il?

 

Un parking a été réalisé près des écoles, jamais discuté en Conseil municipal pas plus qu’en Commission, près de 150 000€ pour un espace aussi peu accessible et peu ouvert que les membres de la majorité qui en ont décidé la création on ne sait où et comment encore?

Autre exemple, daté du 9 février, les habitants de la Rue Neuve ont reçu un avis leur rappelant qu’il devrait respecter les espaces de stationnement. Encore faut-il qu’il y en ait en quantité suffisante ? C’est partout, à quelques exceptions près, dans notre Commune, que les stationnements sont mal distribués. L’urbanisme de notre Commune est maltraité. Ce ne serait pas la faute de notre Municipalité ?

Depuis plusieurs mois, circule la rumeur de l’installation d’un ascenseur pour accéder à la bibliothèque et résoudre la question de l’accès aux personnes à mobilité réduite, jamais évoquée dans les lieux de débat normaux du Conseil municipal, cette solution serait couteuse en installation, en fonctionnement et ne résoudrait aucunement la question de l’accès des personnes à mobilité réduite. Elle résoudrait encore moins la difficulté globale d’accès pour les groupes d’enfants, tout en réduisant l’espace de la bibliothèque qui n’est déjà pas si grande. Ces gâchis coûtent chers…

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Exemple d’un processus de décision (tiré du règlement de la Commune de Saint-Didier, Morvan):

« LA PRISE DE DECISION: Toute décision prise par la commune suit un trajet en plusieurs étapes depuis la naissance du projet jusqu’à son acceptation.

Conseillers municipaux, maire, adjoints : quel est le rôle de chacun ?

Le Conseil Municipal est une assemblée qui réunit les conseillers municipaux, élus par la population lors des élections municipales. Les différentes tendances politiques issues du vote sont représentées. Il y a donc une majorité et une opposition.
La Municipalité: La municipalité est formée du maire et de ses adjoints. Ils sont élus parmi les conseillers municipaux et par le conseil municipal dans les jours qui suivent les élections municipales.

Le Maire , il dirige la Municipalité. Le maire peut déléguer une partie de ses pouvoirs à ses adjoints qui seront alors chargés de « suivre » un domaine particulier des affaires de la commune : adjoint à l’urbanisme, adjoint à l’enseignement, etc.
Le Maire représente l’Etat sous l’autorité directe du préfet, représentant de l’Etat dans le département, le maire doit assurer à ce titre certaines responsabilités :

LES ETAPES DE DECISION: L’initiative d’un projet peut avoir des origines diverses.

– une proposition du maire ou d’un conseiller municipal,

– la requête d’une association ou d’une entreprise,

-un rapport d’un service administratif, etc.

Pour que le projet aboutisse, plusieurs étapes sont nécessaires au cours desquelles le conseil municipal et la municipalité interviennent :
1ère étape : examen par une commission: Les conseillers municipaux se réunissent en groupes de travail appelés commissions, qui étudient en détail des propositions. On trouve classiquement une commission pour chaque domaine d’intervention de la commune (urbanisme. affaires économiques….), présidée par le Maire mais souvent animée par l’un de ses adjoints. Ces commissions ne décident pas. Elles ne peuvent qu’émettre un avis ou proposer des modifications.

2ème étape : examen en bureau municipal

3ème étape : vote du conseil municipal: Le maire convoque alors le conseil municipal avec un ordre du jour qui comporte un ou plusieurs projets à examiner. Le maire réunit le conseil municipal en séance au moins une fois par trimestre, plus s’il le désire. Le conseil municipal, en discutant et en votant, a pour rôle d’accepter ou de refuser les projets qui lui sont soumis.
C’est donc lui qui prend les décisions. » (Fin de citation)

Commentaire du GRG: que l’on aimerait voir ces principes, ces règles pourtant simples appliquées chez nous…

 

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
J’AI FAIT UN REVE! (article des pages 4 et 5 du bulletin de mars 2018)

Un de mes amis me contacte une nuit dans un rêve et me fait part de la mise en vente d’une propriété intéressante. Je saisis l’opportunité bien que le prix semble élevé et je convaincs mes proches de l’acquérir, pensant que peu d’aménagements restaient à faire.

Malheureusement, après acquisition, le constat est que d’importants travaux de rénovation sont à effectuer et que je n’ai plus assez d’argent pour emménager décemment.

Bilan de cette affaire, je reste avec mon nouveau bien sur les bras sans savoir comment me sortir de ce mauvais pas et le tout à rembourser. Heureusement, je m’éveille,

CE N’ETAIT QU’UN MAUVAIS REVE !!

Et pourtant, cette aventure s’est réellement produite en terre génovéfaine, il y  a presque 10 ans :

C’EST L’AFFAIRE PREVOTE !!

Le propriétaire d’alors tentait depuis 3 ans de vendre son bien industriel sans grand succès : bâtiments à rénover, éloignés, prix trop élevé, estimé à environ 500 000€ maxi par les agences immobilières spécialisées.

Un élu de la commune suggère alors de la possibilité d’aménager ces locaux en bâtiments techniques mais je préfère que ce soit une salle socioculturelle. La commune manquait alors déjà de moyens à cet effet. L’affaire fut rondement menée pour un prix de 800 000€ net moyennant, en sus, l’obtention d’un certificat d’urbanisation de 3 terrains adjacents devenus constructibles, appartenant au même propriétaire.

                                                            

Un ensemble de crédits fut accordé sans difficultés et une subvention de 45 000€, enfin un bout de réserve parlementaire de Monsieur MARINI, fut obtenue.

Un avis technique VERBAL avait été rendu par l’architecte traitant habituellement avec la municipalité : Mr BLANCHARD, les domaines ne s’opposant pas à l’opération par un courrier étrangement daté au vu d’autres documents contradictoires figurant officiellement au dossier.

Tout paraissait bien dans le meilleur des mondes. Des réunions eurent même lieu avant même de commencer les travaux préalables et l’ensemble immobilier fut pompeusement baptisé !! Les Génovéfains pouvaient alors féliciter leurs élus d’une telle initiative. Ils allaient enfin disposer prochainement d’un ensemble polyvalent répondant à leurs souhaits.

La joie fut de courte durée, car les premières expertises mandatées pour mise aux normes des bâtiments publics montrèrent des dépenses d’un coût abyssal pour répondre aux soucis de sécurité, salubrité, isolation et aménagement des abords pour la modique somme d’environ 1 000 000F, soit un montant 120% supérieur au prix d’acquisition .
Les travaux furent GELES ,ceci depuis 10 ans, alors que les frais de remboursement, environ 70 000€ par an, courent toujours et pour encore une bonne dizaine d’année sans rien avoir à disposition : UN VRAI FIASCO COMMUNAL.
Simultanément, d’autres communes menaient à bien des projets similaires à des coûts bien moindres que ceux évoqués au projet PREVOTE, à savoir :

On mesure donc un résultat qui apparaît à près de 5 fois plus coûteux que la normale :
QUE DIRE D’UN TEL GACHIS !!
Nous pouvons nous poser la question : qu’aurait-il fallu faire pour éviter un tel désastre ? car n’oublions pas, les dépenses engagées ont lourdement freiné d’autres projets communaux prioritaires dont le scolaire, et vont continuer à peser dans l’avenir.
La mise en œuvre et la conduite d’un tel projet nécessitait des compétences qui ont fait défaut.
Alors, qu’elle aurait du être la marche à suivre ?
Nous tenterons des explications dans notre prochaine édition.

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Classes et restaurant scolaire … (page 3 du bulletin de mars 2018)

Le 20 décembre dernier, lors d’une réunion de Conseil, les élus ont eu à valider la procédure de marché public concernant la construction d’un restaurant scolaire. Si cette délibération prise à l’unanimité peut permettre quelques espoirs quant à la construction prochaine d’un restaurant scolaire, elle n’est pas sans laisser de nombreuses questions sans réponse. Tout d’abord, il convient de rappeler que cet objectif avait été déterminé comme une urgence dans le débat des élections municipales de 2014, les besoins de classes supplémentaires et de la bibliothèque municipale avaient été aussi largement abordés pour être traités dans le même projet. Entre temps, trois classes ont été ouvertes dans des conditions aussi périlleuses qu’onéreuses.

Gérard CHATIN, lors d’une réunion de travail du Conseil municipal, le 19 mai 2016, avait proposé que cette approche globale soit étudiée. Bien que sa proposition ait semblé attirer l’attention, curieusement il n’est plus invité à ce type de réunions depuis. Silence dans les rangs.

Le projet final a été présenté en Conseil le 20 janvier. Celui-ci est en deçà de ce qui avait été annoncé et permettra de recevoir 128 enfants par service alors qu’actuellement la moyenne est de plus de 200 repas par jour. Donc, en plus d’arriver tardivement, cette réalisation ne répondra que très partiellement aux questions scolaires et périscolaires…

En effet, qu’en sera-t-il des enfants encore dans une classe algéco… et quelle solution si une classe devait ouvrir à la rentrée 2018 ou 2019 ? Il circulait, il y a quelques temps, qu’un deuxième préfabriqué pourrait être installé, une classe en étage dans ce qui est actuellement un logement…. Lors de la réunion du 20 janvier 2018, le Conseil a été informé qu’il y aurait 22 élèves en plus à la rentrée de septembre mais qu’on ne pouvait savoir si cela ferait une classe de plus. Toutefois, était annoncé la possibilité de remettre un algéco dans la cour de l’école PAUCHET, cette fois, en attendant la construction en dur dans cette même cour. On continue donc à bricoler. Mais du bricolage de luxe à coup de plusieurs billets de 100 000€ à chaque fois. Le coût du 1er « bâtiment provisoire » s’élève à plus de 200 000€, même décoré de bardages pour plus de 40 000€, il reste une solution insatisfaisante. Ces opérations coûtent aussi chers que des solutions durables et font vivre à nos enfants des conditions difficiles d’enseignements, et subir au personnel communal et aux enseignants des conditions de travail inacceptables.

Les moyens financiers sont là cette majorité s’épuise, les gâche par son imprévision. En effet car dans le même temps, on engage la vidéo-protection (plus de 220 000€) et la salle PREVOTE-VANBERSEL (autre gros bricolage coûteux, près d’1 million d’€uros). Il faut bien rattraper les près de 35% d’investissement que nous avons de retard depuis le début des années 2000 en même temps que de prévoir quelques inaugurations pour donner l’illusion en fin de mandat.

Difficile de voir le sens des priorités dans ces bricolages.

 Ce qu’il aurait fallu faire. Nous pensons que dès 2014, il aurait fallu s’atteler à la construction d’un projet qui réponde aux besoins de classes (3 à 4 classes), d’un restaurant scolaire et d’une bibliothèque municipale digne de ce nom (la nôtre risque par sa situation de perdre son agrément et la rumeur d’y installer un ascenseur n’y changerait rien). Il n’est pas déraisonnable de penser qu’un tel projet aurait pu être livré en septembre 2017, évitant les désagréments que nous avons déjà évoqués, connus et supportés.

Le bulletin complet en téléchargeable PDF

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Parlons finances locales ….. (deuxième article du bulletin de mars 2018)

Depuis des années, nous suivons l’évolution des finances de notre Commune via le site du Ministère de l’Economie et des Finances https://www.collectivites-locales.gouv.fr/ et son suivi par strates. Globalement notre commune ne se porte pas mal, bien au contraire. On se demande comment l’exécutif et sa majorité peuvent tenir le discours de manque de moyens qui leur seraient donnés. Nous continuons à penser qu’il s’agit malheureusement d’une mauvaise utilisation de ces moyens. En effet, chaque année, Sainte-Geneviève produit un excédent de fonctionnement plus élevé que la moyenne, où est alors le manque de moyens quand on a 500 000€ d’excédent de fonctionnement?

Evolution des charges de personnel

Nos produits d’impôts locaux qui étaient inférieurs de plus de 7% de la moyenne il y une quinzaine d’années, sont désormais supérieurs de 37% à cette même moyenne, pour quels services en plus?
Nos charges de personnel qui étaient inférieures, elles, de plus de 24% de la moyenne, ont rejoint cette moyenne, là encore pour quels services en plus, d’autant que nos charges externes restent supérieures à la moyenne de plus de 16%? Dans le même temps, le niveau de subventions versées aux associations est passé de 45€ par habitant en 2001 à 28€ par habitant en 2016, il faudrait peut-être tenir compte de l’évolution de la population?

Evolution de nos charges externes

Mais là où la faille est la plus importante, c’est toujours, nous l’avons déjà écrit et dénoncé, c’est dans l’investissement. En effet le montant de nos emplois d’investissement se situe à près de 35% en deçà de la moyenne. Quand on voit le sous équipement en locaux notamment dans le domaine scolaire mais pas seulement (bibliothèque, salles, …), on s’interroge vraiment sur la capacité de cette majorité à considérer les priorités. Les chiffres du tableau joint sont éloquents et ce d’autant quand on sait que l’en cours de la dette de la Commune est actuellement supérieur de près de 25% à celui de la moyenne. En même temps, quand on mène des actions d’investissements qui sont insuffisamment mobilisatrices de subventions on doit autofinancer ou emprunter.

Depuis 2001, notre Commune se trouve dans la situation d’avoir investi près de 35% de moins que la moyenne des communes équivalentes. Ce, alors que de nombreux besoins ne sont pas couverts.

C’est ainsi que notre niveau de subvention reste en moyenne inférieur de près de 16% à la moyenne des communes équivalentes. Ce seraient donc nos concitoyens qui payeraient, soit directement, soit via l’emprunt ce que cette majorité ne sait pas aller chercher en subventions?!…

Pour conclure, au regard de ces chiffres, notre Commune ne se porte pas mal, ce sont ses moyens et ses opérations qui sont mal gérés.

Le bulletin complet en téléchargeable PDF

 

Sur votre simple demande au 06 01 27 09 63 (SMS ou appel) ou par courriel  à sainte-genevieve@legenovefain.net, pour plus de précisions sur ce sujet fondamental nous pouvons  :

· – vous livrer à domicile « Analyse de la gestion de la Commune de Sainte-Geneviève 2001-2016 »

· – Vous la présenter en vidéo projection à domicile

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Etat de siège Rue du Canton de Beaupréau:

Ce matin, la Rue du Canton de Beaupréau bouclée entre l’église et la Rue des James: pas d’information des riverains inquiets, peu de signalisations avancées et de déviations,….

Le chantier de construction du restaurant scolaire s’engage alors que l’on vient de détruire le bâtiment DELAHERE sans qu’ait été affiché le permis autorisant cette destruction et qu’il n’y a pas plus de permis de construire affiché pour la construction….

   

Le règne du « faites ce que je dis pas ce que je fais » continue et devient la règle de cet exécutif….

 

 

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Edito de « Entre deux lignes » en cours de diffusion….

Reprendre le sens de l’intérêt général….

 

Cette majorité municipale avec ses 23 années d’ancienneté est tombée dans la perversité de fonctionner à l’exception. Ceux qui ne  sont pas d’accord avec sa pensée unique sont conspués, mis de côté, vilipendés, tenus pour quantités négligeables et autres traitements indignes. Quand on voit la façon dont sont considérés les différents démissionnaires qui ont accompagné, parfois longuement, notre exécutif municipal on évalue toute la considération des membres de cette équipe pour ses collègues, qui plus est minoritaires, ou ceux qui les ont précédé. Madame le Maire déclare que la démission de l’une de ses anciennes adjointes « est un non évènement, ça m’est égal… » (Oise Hebdo 24.11.17), la même considération dédaigneuse avait été exprimée quand un autre élu membre de sa majorité actuelle avait démissionné en septembre 2015. On pourrait en citer d’autres. Donc il faut être là et pratiquement aux ordres, s’accommoder d’un système où l’écoute et la concertation sont inexistantes, où la plupart des projets sont amenés en Conseil de façon à le transformer en chambre d’enregistrement.

 

C’est la conception de cette majorité pas seulement de son exécutif.

Ce système d’exception détruit notre bien-être, notre vie locale. S’il apporte quelques avantages à certains il ne saurait être une solution collective tant on voit les dégâts qu’il produit.

Cette pratique ne sert pas l’intérêt général. Les résultats désastreux de la gestion que nous connaissons par cette majorité le démontrent: perte de vie sociale, clanisme, information réduite au minimum, manque de projets, conceptions restreintes au minimum,… non reconnaissance des groupes constitués, ….

Dès maintenant et dans la perspective des échéances à venir (ré-)apprenons à retrouver cette notion de l’intérêt général qui consiste à regarder plus loin que le petit intérêt particulier et immédiat. Apprenons à penser global et à agir local, pour le bien commun.

La majorité municipale actuellement en place, depuis 1995, dans sa démarche d’irrespect de ce qui n’émane pas de son exécutif en a perdu le sens.

 

 

Gérard CHATIN

Conseiller municipal minoritaire

 

Le bulletin complet en téléchargeable PDF

 

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Il faut changer vos cartes d’accès à la déchetterie pour le 1er avril 2018:

A partir de ces liens demandez votre nouvelle carte pour accéder aux déchetterie de la Communauté de Commune la THELLOISE et du SMDO

Espace téléchargement
ACTUALITES NOS ECHOS DU CONSEIL
Nos Echos du Conseil du 27 février: un Conseil administratif mais…

3 personnes dans le public pas de représentant de la presse.

Le quorum est atteint avec quelques difficultés, arrivées tardives, à 20h35 bien sonnée.

18Nos Echos en téléchargeable PDF

Beriza ZIEGLER est désignée secrétaire de séance.

Etaient présents: Jacqueline VANBERSEL, Georges BERSON, Jacky BEAUDOIR, Dominique LABARRE, Beriza ZIEGLER, Christèle MARIN, Pierre HAUTOT, Anne-Marie KRAUZE, Céline TESSON, Pascal BREBANT pour la liste « Une équipe forte pour agir ensemble » (EFAE);

Gérard CHATIN et Patricia BARBIER pour la liste « Un nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève »(NASG) ;

Martial ROZE Lire la suite

ACTUALITES NOS PUBLICATIONS
Les visites sur le site legenovéfain.net…..

Les visites sur ce site sont en constante progression depuis le courant de l’année 2017 avec une moyenne/jour qui termine à 470 visites en fin d’année. Sur ce début d’année, l’évolution continue avec 444 en Janvier (mois calme en publications) et 589 en février avec une pointe à 920 sur la journée du 4 février.

Merci à nos visiteurs,

N’hésitez pas à nous adresser idées et publications que nous pouvons relayer. Cet espace est libre.

 

ACTUALITES NOS ECHOS DU CONSEIL NOS PUBLICATIONS
L’état des présences au Conseil municipal après la réunion du 27 février 2018:

La moyenne des présences se situe désormais à 74%. La liste majoritaire se situant à peine un point au dessus (75,30%) et la liste Demain Sainte-Geneviève ne se situant qu’à près de 53%, c’est la liste Un nouvel avenir pour Sainte-Geneviève qui tient le meilleur score de présence avec 89,58%.

L’état complet en téléchargeable PDF