







Le 6 novembre 2018, à 19h, s’est tenue une réunion publique en direction du Petit Fercourt. Cette réunion avait pour objectif de présenter les projets pour faire face à d’éventuelles menaces de nouvelles inondations dans le quartier. Elle faisait suite à la mobilisation des habitants, le 6 juin dernier, qui avaient participé nombreux à une réunion citoyenne au café du Petit Fercourt. Lors de cette réunion, il avait été annoncé que rien n’était possible 2 ans et demi: il fallait des études, des marchés, des travaux, des financements,….. selon le 1er adjoint au Maire venu y participer. Pourtant désormais, on nous annonce une opération de travaux qui serait terminée pour la fin de l’été prochain, soit moins d’un an.
Le projet présenté lors de la réunion du 6 novembre repose sur la mise en place d’un bassin de rétention entre les maisons de la rue de Laboissière et la ferme FALEMPIN qui en cas de trop plein se déversera dans une mare rénovée sur la rue de Méru situé là où se trouve actuellement le parking de « covoiturage ».
L’information important de cette réunion est que ce qui était impossible il y a 3 mois à moins de 2 ans et demi le devient en moins d’un an. La mobilisation a payé.
Il n’a rien été dit sur l’acquisition nécessaire des terrains pour l’implantation du bassin de rétention lors de la réunion du 6 novembre, pas plus que lors du Conseil municipal du 15 novembre d’ailleurs…..
Le montage déscriptif du projet présenté le 6 novembre en télécharge PDF


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L’article en téléchargeable PDF
La liste Un Nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève avait cette idée dans ses propositions….
produit par le Génovéfain Net
10 personnes dans le public dont un représentant de la presse, l’Observateur de Beauvais.
Le quorum est atteint à 20h30.
Nos Echos en téléchargeable PDF
Madame le Maire propose que Christelle MARIN soit secrétaire de séance mais Eric MAURIERAS lève la main et après quelques atermoiements est désigné.
Etaient présents: Jacqueline VANBERSEL, Georges BERSON, Jacky BEAUDOIR, Dominique LABARRE, Bériza ZIEGLER, Christèle MARIN, Pierre HAUTOT, Éric MAURIERAS, Anne-Marie KRAUZE, Céline TESSON et Claude GARDETTE (arrivé à 22h25) pour la liste « Une équipe forte pour agir ensemble » (EFAE);
Gérard CHATIN, Patricia BARBIER et Continuer la lecture
15 présents à la réunion du 15 novembre, l’assiduité est globalement en baisse avec une moyenne de présence de 73,54% de présence bien sûr très différente selon les personnes. C’est toujours la liste « Un nouvel avenir pour Sainte-Geneviève » qui arrive en tête avec 89,38% de présence. La liste majoritaire se situant à 74,11% et la liste « Demain Sainte-Geneviève » se situant loin derrière avec 55% mais si les membres récemment entrés pour cette liste améliorent la situation.
A la date du Conseil municipal du 13 Septembre 2018, l’arrêté des dépenses réalisées dans le cadre de sa délégation de marchés publics Madame le Maire a engagé 337 568,80€ depuis le début 2018.
Le détail avec les opérations menées et les fournisseurs utilisés, joint….
Comme nous l’avions indiqué précédemment, la critique ne peut être positive que si des contre-propositions apportent une éventuelle solution.
Dans le cas de l’investissement «PREVOTE » par la commune de Ste Geneviève, il y a maintenant dix ans, seule la modernisation des ateliers municipaux, devenue plus que nécessaire a montré son utilité.
Pour le reste, nous l’avons déjà décrit comme un gouffre financier qui a mis clairement en évidence qu’on ne mène pas un projet neuf avec des bâtiments vieux dont le coût de rénovation est devenu incontrôlable au fil du temps.
Alors que faire ? probablement sauver le bébé sans jeter l’eau du bain.
En premier, maintenir les ateliers municipaux là où ils sont désormais.
En second, déplacer le lieu de la salle socio-culturelle vers un endroit plus accessible pour tous les génovéfains en y construisant un bâtiment fonctionnel, parfaitement adapté aux besoins, répondant aux normes en vigueur sans surcoûts prévisibles.
Que faire alors de « l’investissement PREVOTE » ?:
Un exemple: Le transformer en lotissements (6000 m2 disponibles) de dix parcelles de 500 m2 avec distribution centrale, accessibles à la propriété, produisant le remboursement partiel du projet : gain prévisible : environ un million d’euros réinvestis dans le nouveau projet.
Quant à la bâtisse de 300 m2, objet de tant de dépenses pour une mise aux normes hypothétique, la transformer en garages et lieux de stockage.
Reste le terrain communal à définir pour le nouveau projet largement refinancé par les ventes en y additionnant des subventions plus faciles à obtenir sur un tel projet: plusieurs endroits possibles peuvent être choisis.
Ainsi, les budgets à réinvestir sont moins élevés, mieux contrôlables et conduisent à gommer un retard d’équipement devenu inacceptable.
En conclusion, nous n’avons pas la prétention de détenir la vérité, seulement de proposer une solution plausible parmi d’autres possibles car le temps presse et, moins qu’un retour en arrière, c’est une remise en cause raisonnable qui mène à une sortie honorable d’un projet mal engagé à l’origine.
C’est donc à nos élus d’en prendre note et de choisir…
Henri RODE
Après 31 ans de vie à Sainte-Geneviève dont 19 en qualité d’élu, mon épouse et moi même prenons la route vers un nouvel avenir afin de nous épanouir à la retraite.
En me lisant vous direz peut être si il s’en va, pourquoi il intervient dans ce bulletin.
J’interviens pour vous donner ma vision des choses et apporter des idées pour l’avenir de Sainte-Geneviève même si j’y vis plus, à ce jour on peut tous constater :
– Un village qui n’est plus propre, le désherbage fait complètement défaut, le balayage de nos trottoirs est inexistant, du mobilier urbain obsolète et surtout insuffisant (manque de bancs, de poubelles, de sacs à déjection canine…
Une salle super polyvalente qui sert de cantine, de salle de réunions, d’animations, de ceci, de cela, c’est limite honteux…

– Un Village qui construit n’importe où et sans penser à ses infrastructures : manque de bâtiment pour les écoles (classes surchargées), cour de récréation trop petite, salle des fêtes inadaptée, bibliothèque mal implantée, trottoirs défaillants (surtout sur la rue du Placeau), voierie en mauvais état ( formation de nids de poule en abondance),……
– Entrées et sorties du village par la D 1001 pas accueillantes, vous pouvez voir que les trottoirs ne sont pas réalisés complètement, que les arbres sont entourés par des buses de puisards, le fleurissement est remplacé par la pousse d’orties de ronces de mauvaises herbes, etc…
– Une police municipale qui n’a plus de directive donc qu’on ne voit plus ou pratiquement plus, occupée certainement par des tâches administratives autres que la sécurité de notre village. La mise en place des Voisins Vigilants, de plus à la traîne, ne remplacent pas ces derniers. La vidéo-protection qui a été évoquée depuis des années et toujours pas en place ne doit pas remplacer l’être humain.
La sécurité de tous est une priorité surtout de notre temps, où des drames se produisent aussi bien dans les grandes comme dans les petites communes. L’actualité est là pour en parler.
– Un plan de circulation doit voir le jour, revoir les intersections où des « stop » ont pris place sans que la visibilité soit au maximum. Le stationnement sur les trottoirs doit disparaître.
– Une maison médicale se fait attendre avec plus de services médicaux (encore une promesse qui recule au fil des jours)beaucoup d’attraits mais il faut du changement, un grand changement, c’est vous qui devez en décider. Le retard s’est accumulé depuis près de cinq ans.
A tous ceux que j’ai côtoyés durant mes 31 années, à tous mes amis (les vrais, ils se reconnaitront) qui restent ici , je vous souhaite bonne vie et bon courage pour les prochaines années.
Philippe MARCOTTE

Ca y est, ils ont enfin commencé la destruction de la maison SAUREL.
Rappelons que contrairement à ce que laisse encore courir certains, notamment élus majoritaires, il ne s’agit pas ici de construire une maison médicale. Mais de regrouper les médecins libéraux actuellement installés sur la Commune (un généraliste, les infirmières, un dentiste) au sein d’un même immeuble avec quelques dizaines de logements sociaux aux normes d’accès PMR. Cela ne constitue pas une maison médicale, d’autant que si pour quelque raison que ce soit l’un des logements occupés ne l’étaient plus pendant 6 mois, l’OPAC s’est engagée à lui redonner sa fonction initiale de logement. Tout çà pour ça, après des années d’attente.
La maison est désormais détruite, il y aura, en fin d’opération, une trentaine de logements dont 5 réservés à des professions médicales (trois sont déjà attribués à ceux installés sur la commune, deux attendent des candidats).
Où il y a une enseigne « plomberie – ramonage », sur la Nationale, se tenait, jusqu’au début des années 1980, et depuis des décennies, au regard de ces cartes postales qui datent d’environ un siècle un FAMILISTERE à quelques pas d’où est installé, depuis bientôt 20ans, le SUPER U. Si l’environnement a quelque peu changé, les maisons ont suivi leur temps en s’adaptant… On ne marche plus sur la route principale sur laquelle passent, de nos jours, de 15 000 à 20 000 véhicules par jour…


Nos écoles ne sont peut-être pas dans un état aussi avancé de difficultés, mais le nombre d’enfants par classe est inquiétant, l’école maternelle s’est fortement dégradée, la restauration scolaire se fait dans une salle « super polyvalente », une classe campe en préfabriqué depuis 3 ans et rien ne pointe à l’horizon comme solution si ce n’est le restaurant scolaire, priorité de 2014, qui ne sera pas ouvert avant fin 2019?!….
C’est réellement se satisfaire de peu qu’annoncer cette rentrée
comme « sans problème… » comme a pu le faire le 1er adjoint pourtant en charge des affaires scolaires lors de la réunion de Conseil municipal du 13 septembre dernier. La situation ne s’améliore pas et les solutions sont encore loin à l’horizon…
Si la moyenne par classe en maternelle baisse (23,5élèves) puisqu’il y a 8 élèves de moins avec 188 élèves en tout, il n’en va pas de même dans le primaire qui avec 228 élèves (27,33 élèves par classe) nos écoles reçoivent 28 élèves supplémentaires. Les deux classes de Robert PAUCHET (CM2) sont à 30 élèves, ce alors que les classes de CE2 et CM1 sont soit à 28 ou à 26.
Nous ne nous étendrons pas ici sur l’éventuelle ouverture d’une classe qui aurait été proposée par l’Education nationale et n’aurait pas été suivie au regard du manque de locaux dans la Commune. Imprévision, encore….
Nous ne nous étendrons, pas non plus, sur la classe en préfabriqué qui a fait sa troisième rentrée malgré l’insatisfaction des parents et l’annonce de « provisoire » lorsqu’elle avait été installée. Il est vrai que quand on met plus de 200 000€ dans du provisoire, on veut qu’il dure….
Nous ne nous étendrons pas non plus sur le restaurant scolaire , priorité reconnue de toutes les listes, y compris la majoritaire, lors des dernières élections municipales de 2014, qui a vu ses travaux commencés au printemps dernier, a connu déjà la colère des éléments en plein mois d’août et qui ne devrait même pas être livré pour la dernière rentrée de cette mandature, mais quelques semaines plus tard, comme nous l’a annoncé, ce même 1er adjoint, avec un air un peu gêné de cette piteuse performance lors du même Conseil. Quelle sens des priorités. Il est vrai qu’il venait juste de découvrir qu’un Commissaire enquêteur lui indiquait que la voie qu’il avait imaginée pour se rendre à ce restaurant était insuffisamment large. A force de choisir la voie étroite, ce qu’il a toujours fait, on cherche à l’imposer aux autres….
Nous ne nous étendrons pas, encore, sur les personnes à qui l’on suggère d’aller inscrire leurs enfants à l’école dans une Commune voisine ou par rapport à leur lieu de travail, ou dont on envoie les enfants en restauration scolaire à Novillers les Cailloux…
Mais sans s’étendre dessus, tous ces « détails » sont des faits dont nos enfants, leurs parents, les personnels communaux et enseignants subissent les conséquences néfastes, les contraintes.
Il faut donc bien évoquer une rentrée pour laquelle il manque au moins deux classes, une bibliothèque digne de ce nom,….. Et quelques autres moyens que nous avons déjà évoqués en faisant des propositions sérieuses, raisonnables et adaptées, jamais lues, jamais écoutées, et sur lesquelles nous reviendrons en nous étendant dessus.

Encore une fois, cette municipalité fait fort dans l’information municipale, elle fait distribuer aujourd’hui un papier sur des trav
aux e
ngagés le jour même avec un document daté de 5 jours plus tôt qui ne trompe personne. Les habitants du Blanc mont qui vivent déjà bien des désagréments depuis près d’un an et demi apprécieront. Mais c’est vrai dans tous les quartiers, il y a quelques semaines, ils ont fait la même chose avec les trottoirs de la Rue de l’Avenir…..
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Distribué ce jour en début d’après-midi.
Les rues du Blanc mont, à peine carrossable ce jour, comme depuis plusieurs mois…
C’est de ce principe de base de notre système républicain, de notre démocratie que doit partir chacun d’entre nous quand il regarde nos élus, leur fonctionnement, leurs décisions. Les élus ne sont que des représentants qui, normalement, sont élus sur un programme, des orientations. Une fois que l’on a dit cela, il est utile de regarder comment fonctionne le système que nous, électeurs, avons contribué à poser dans notre Commune. Est-il ouvert? À l’écoute ? Nous amène-t-il à participer? C’est ce que nous avons chercher à savoir en vous interrogeant par un questionnaire que nous avons posé sur internet. Il était ouvert à tous, d’ailleurs des réponses d’horizons divers ont été enregistrées… Si leur nombre est insuffisant pour valoir sondage, ou enquête, convenons-en, il en ressort des points indiscutables.
Les personnes qui ont répondu ne donnent qu’une moyenne de 3,57 sur 10 à la Municipalité en matière de pratiques démocratiques. A peine plus de 12% se considèrent comme suffisamment informés de la tenue des Conseils municipaux, plus de 30% ne savent pas combien il y a de Conseils municipaux dans l’année, alors que 98% se considèrent comme insuffisamment informés des projets municipaux et que 49% ne distinguent aucune priorités dans la démarche municipale, la
même proportion considère que les débats municipaux n’abordent pas les priorités de façon correcte. Face à la question « Les lettres ou pétitions de la population font-elles l’objet de présentations en Conseil municipal à qui elles sont adressées, 2% répondent oui, près de 33% répondent non et plus de 65% répondent qu’ils ne savent pas, ce résultat démontre le manque d’information sur ces sujets.
Quand on aborde les questions de l’implication de la population près de 86% considèrent que la municipalité ne fait pas ce qu’il faut pour qu’il y ait implication et 98% veulent plus d’implication. Des propositions claires ressortent, pour 57%, ils veulent une démarche plus ouverte, plus de 22% des présentations de projets avec débats et plus de 12% des réunions publiques, alors que 8% souhaitent des commissions ouvertes. C’est très intéressant, plus d’ouverture….
Cela démontre un vrai souhait de démocratie dans notre population qui, face au manque actuel, s’en exprime. Si le niveau de réponses est insuffisant pour valoir sondage ou enquête scientifique au regard du défaut d’échantillonnage représentatif, l’orientation largement majoritaire qu’elle détermine est claire.
Il faudra donc s’en inspirer largement pour de nouvelles démarches de démocratie et d’information dans notre Communes. Pour notre part, nous y sommes prêts. Il est loin d’être certain que les majoritaires le soient, tant sur 23 ans de gestion, ils font preuve de pratiques fermées envers leurs opposants ou la population. Ne l’oublions pas, le pouvoir ne leur appartient pas, il ne leur est que prêté à chaque élection et nous, citoyens, élus ou non, devons en garder le contrôle à tout moment.
Gérard CHATIN
Conseiller municipal minoritaire

On ne sait pourquoi cette entrée de la Commune en venant de la capitale est nommée La Croix si ce n’est ce calvaire présent, on le voit, depuis longtemps. On trouve, dans ce hameau, certaines des plus vieilles maisons du village.Cette partie de la commue a toujours été sur la voie principale de la commune ce n’est qu’au début du 19ème siècle qu’elle fut prolongée de ce que l’on appelle aujourd’hui « la Nationale » pour rejoindre Noailles et Beauvais. Précédemment la rue principale était l’actuelle Rue du Placeau et ses prolongements appelés actuellement: Rue de l’Eventail, d’une part, et du Canton de Beaupréau, d’autre part. Nous y reviendrons….


La décision prise par le Conseil communautaire de la Thelloise le 11 octobre 2018 va produire un supplément que chaque propriétaire devra payer l’an prochain sur sa Taxe foncière de 2019. L’intercommunalité a choisi un taux basé sur la moyenne de la valeur locative sur chacune des communes soit un niveau de taxe pour chaque commune comme on peut le voir ci-dessous. Que n’a-t-on choisi une valeur locative de l’ensemble des communes ce qui aurait fait le même niveau de taxe sur l’ensemble de l’intercommunalité et aurait plus conforme à l’esprit communautaire?
Pour Sainte-Geneviève, la note sera de 83€ par logement. Cette question, comme bien d’autres, n’a jamais été évoquée et encore moins débattue au Conseil municipal…. contrairement à ce qui s’est fait dans quelques autres communes.
Le calcul est basé sur un taux de 5,58% sur la base de la valeur locative moyenne dans chaque commune.

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L’article complet en téléchargeable PDF
Encore une baisse en septembre sur nos visites mais qui ressemble plus à un retour à la normale par rapport à la montée forte que nous avons déjà expliquée par rapport à un article sur la création de 200 emplois à Chambly qui a boosté nos visites participant de la pointe de 2912 visites en juillet.

Les élus "Un Nouvel Avenir" Ont prévu de poser le sujet: Les questions que poseront les élus « Un Nouvel…