Conformément à la loi, les élus « Un Nouvel Avenir ont obtenu qu’ils puissent être contactés à partir du Site officiel de la Commune de Sainte-Geneviève. Ils ont créé une adresse courriel générique: unnouvelavenirpoursainte-genevieve@hotmail.com
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Cet article paru dans le Courrier picard le 7 août dernier ne rassure pas sur la considération des exécutifs sur leurs élus minoritaires quant à l’expression des minoritaires sur le Facebook communal. Maintes fois, à Sainte-Geneviève, les élus « Un Nouvel Avenir » ont demandé l’application de la loi et l’intégration de toutes ses conséquences dans le règlement intérieur. Le Maire a même eu une expression hésitante mais favorable, pour son 1er adjoint c’est « tant que je serai là, pas question… ». L’article 2121-27-1 du Code Général des Collectivités locales est pourtant clair et la Gazette des Communes.fr le rappelle bien dans ses pages conseil. Malgré des textes légaux et jurisprudentiels qui encadrent la question depuis plus de 10 ans désormais, des exécutifs locaux; Maires ou adjoints, empêchent encore leur application, c’est vrai à Sainte-Geneviève mais pas seulement, c’est désolant…
Alors que depuis quelques semaines les travaux de constructions d’une résidence Seniors sont lancés par l’initiative privée, il n’est pas inutile de faire un peu mémoire sur le lieu où elle va s’implanter.
La commune de Sainte-Geneviève, réputée pour avoir été l’un des premiers et des principaux centres de tabletterie de la région au début du 19e siècle, n’a laissé que peu de témoignages architecturaux significatifs de cette industrie, notamment en raison de l’organisation dispersée, particulière, et donc quasi artisanale des nombreux ateliers. L’usine Lesieur-Lesbroussart est l’un des rares témoins industriels de cette activité. L’étude archéologique et stylistique permet de dater les bâtiments du 3e quart du 19e siècle, notamment le grand atelier de fabrication et les bureaux attenants, ainsi que le logement patronal, dont le vocabulaire ornemental s’inscrit dans le courant néo dix-huitième de l’époque. Il semble que l’usine appartienne d’abord à Pascal Lesbroussart, dont les initiales sont sculptées au sommet de la lucarne du logement patronal. Mais en 1882, l’entreprise suit le mouvement économique de concentration amorcé quelques années plus tôt. Elle devient alors la société Lesieur-Lesbroussart et Cie, spécialisée dans la fabrication d’éventails en nacre, ivoire et bois des îles. L’activité se poursuit jusque vers 1935. L’année suivante, la cheminée est démontée. Par la suite, le site est occupé par une usine d’emboutissage avant d’être désaffecté. Les bâtiments industriels sont loués à diverses activités de service. 1893 : présence d’une machine à vapeur.
L’ensemble des bâtiments industriels et domestiques du site est construit en brique et généralement couvert en ardoise. L’atelier de fabrication développe 18 travées, rythmées par les ouvertures en plein cintre. L’élévation en rez-de-chaussée est couronnée d’une corniche moulurée en brique silico-calcaire. La charpente en bois apparente soutient le toit à longs pans et pignons couverts. Au nord, et en retour de cet atelier, les anciens bureaux et magasins sont à un étage carré, soulignés par un cordon mouluré et comble. Le toit de ce bâtiment est à longs pans avec, côté cour, un pignon couvert débordant porté par des aisseliers ajourés ornés de rinceaux. Implanté en retrait de l’alignement, il est précédé d’un jardin clos. De l’autre côté de l’entrée, la conciergerie, construite sur cave, et les remises agricoles, comportent un toit à longs pans et croupe brisés, percé de lucarnes assurant l’éclairage du comble à surcroît. Enfin, à l’est, le logement patronal, situé en front de rue, est marqué par une élévation ordonnancée de 7 travées, rythmée par les ouvertures à encadrements moulurés en pierre et les lucarnes de l’étage de comble. L’élévation de la travée axiale est constituée de l’entrée principale, surmontée d’une porte fenêtre donnant sur un balcon en fer forgé et d’une lucarne à aileron à volutes rentrantes, ornés de feuillages et des initiales P et L inscrites dans un cartouche en forme de cuir découpé en pierre.
Point de l’ordre du jour: 6) Mobilier urbain — Approbation du contrat de concession,
Le Maire donne la parole à Pierre HAUTOT, 1er adjoint en charge de la Communication communale qui rappelle les précédents Conseils qui ont déjà évoqué ce sujet. Il s’agit d’implanter sur la Commune, différents supports de communication sous la forme de panneaux d’affichage gérés par un prestataire, des panneaux d’affichage libre et des panneaux administratifs. Il était prévu dans l’appel d’offres que soit également changé le panneau lumineux, hors service depuis plusieurs années, mais aucun des prestataires qui ont répondu n’incluait ce type de support dans son offre. Une Commission communication s’est tenue le 20 juin lors de laquelle deux offres ont été présentées. Elles sont aujourd’hui soumises au Conseil municipal. Pour ce qui est du panneau lumineux, il semblerait que cela fasse l’objet d’un prochain choix qui serait déjà avancé puisque l’adjoint l’évoque tout en déclarant que l’on y reviendra lors d’une prochaine réunion. Certains élus semblent regretter que ce point ne soit pas traité. Les deux solutions proposées ne font différence que sur le suivi de l’affichage que les prestataires devront traités (voir tableau). VEDIAUD ne devance BUEIL COM, son concurrent, que sur ce point qui fait l’écart de points. Alors que l’on va passer au vote, Gérard CHATIN rappelle à Pierre HAUTOT qu’il a omis d’indiquer qu’une application proposée par VEDIAUD viendrait remplacer City Hall, actuellement en service sur notre Commune, étonnamment le conseiller minoritaire est remercié par l’adjoint de ce rappel et apporte quelques précisions. Près de deux ans de procédure et un panneau lumineux en panne depuis des années, c’est pas fort. Il est décidé, à l’unanimité, d’un contrat de 12 ans pour l’ensemble de ce mobilier, lequel rapportera 3 500€ par an à la Commune.
Point de l’ordre du jour: 5) Médiathèque — Approbation du marché de travaux lot I et 2,
Le Maire passe la parole à Jean-Louis AGNES qui présente le sujet par l’ensemble de la procédure des différents lots de marché concernés par cette opération qui représente le plus gros investissement au moins de ce mandat. Il aura l’objet d’un comité de pilotage et d’un jury de concours parce que les textes obligeaient l’exécutif à y avoir recours mais dont les marchés ne seront pas passés par la Commission d’appel d’offres ce qui compte tenu de l’importance du projet, de son coût qui frôlera les 4 000 000 d’€uros, est regrettable. Ceci amène à une pratique curieuse qui fait que parfois la Commission travaux est interrogée (briques de la construction, sièges rétractables, plus récemment,….) mais que dans un certain nombre de choix, cela se passe on ne sait trop comment… heureusement le Conseil devra valider chaque attribution de lot. Il s’agit de deux lots urgents du gros oeuvres puisqu’un délai important est nécessaire pour réaliser les briques. Le lot 1 reste dans le cadre des prévissions et même un peu en deçà, ce alors que le lot 2 est très supérieur à ces prévisions. Les débats font apparaître que des choix concernant les portants d’éclairage et les sièges rétractables vont faire l’objet de révision dans les appels d’offres. Les propositions d’attribution des deux lots 1 et 2 sont votés à l’unanimité moins l’abstention de Thierry REMOND après quelques échanges de précision notamment sur les matériaux.
Point de l’ordre du jour: 4) Subvention association 2025.
Le Maire rappelle assez rapidement la situation du précédent Conseil lors duquel cette association a été évoquée par rapport au rejet de sa demande de subvention, il ne rappelle pas que c’est à la demande des élus NASG que ce dossier est représenté lors de ce nouveau Conseil. L’association, qui est une Maison d’Assistante Maternelle, avait demandé 1 000€, elle en obtient 800 votés à l’unanimité.
Point de l’ordre du jour: 3) Police Municipale — Bilan semestre 2025
Le Maire donne la parole à Xavier BOULIN afin qu’il présente le bilan des 6 derniers mois qui a été envoyé aux membres du Conseil municipal. Comme c’est souvent, il décrit une situation qui s’améliore, n’évoque aucun fait particulier ou plutôt divers, comme une voiture entrée dans un mur récemment, par exemple. A l’entendre, tout va bien, tout va mieux. Mais une fois ses commentaires terminés, les questions fusent sur les difficultés dans différents quartiers, des sièges des minoritaires mais pas seulement et surtout des majoritaires. Didier FALAMPIN pour le Petit Fercourt (NESG), Nathalie CEDOLIN (NASG) pour la Rue de l’Eventail et la place de la Mairie qui évoque les courses en voitures sans permis, Olivier POTIRON (NESG) qui soulève plusieurs sujets comme s’il ne participait pas de la décision communale. Xavier BOULIN qui a « effacé » « Voisins vigilants » demande d’être informé des faits dans les plus brefs délais mais se déclare désarmé en matière d’outils répressifs soutenu par Pierre HAUTOT et le DGS qui en rajoute une louche en demandant de faire remonter…. A qui, à quoi? Voilà un bilan présenté de façon idyllique qui dès qu’il fait l’objet d’échanges, de débats est plutôt déplorable face aux constats de tous, pour ne pas dire plus. Nous sommes en fin de mandat, faut-il le rappeler, c’est leur bilan. Il aurait bien utile d’en débattre plus à fond, peut-être encore, avant le 1er point comme l’avait demander Gérard CHATIN, peut-être plus tôt encore, parler du contenu après avoir posé le contenant, c’est un peu tardif.
Point de l’ordre du jour: 2) Personnel — Détermination du taux d’avancement de grade de la police municipale,
L
e Maire prend la parole pour expliquer qu’il s’agit tout simplement d’adopter le même système indemnitaire que celui que le Conseil municipal a déjà décidé d’appliquer aux autres membres du personnel et qui est, vulgairement posé par l’Etat, laissant une légère marge aux Collectivités locales. L’histoire ne dit pas pourquoi cette décision n’a pas été prise auparavant. Le vote est acquis à l’unanimité.
Point de l’ordre du jour: 1) Personnel — Création de deux postes de Brigadier-Chef principal de police municipale de catégorie C,
Gérard CHATIN, au nom du groupe « Un Nouvel Avenir », avait envoyé un courriel pour qu’il soit examiné après le bilan qui est en point 3. Le Maire n’y fait même pas allusion, n’en parle, et engage le sujet comme s’il n’y avait pas matière à débat. Débat dont on verra bien, lors du point 3, qu’il est nécessaire. Mais d’un exécutif qui a coupé les liens entre les citoyens et les questions en mettant fin, sans le dire, au processus « Voisins vigilants » tout en continuant à en usurper le label. Le sujet est tellement clairement claire qu’il suscite une question d’un élu majoritaire, Didier FALAMPIN, à propos de son fondement que l’exécutif a bien du mal à expliquer politiquement et techniquement, ce qui es bien normal quant ont fait les choses dans le désordre. Par ailleurs, une nouvelle fois, on introduit des postes dans le tableau des emplois sans que l’actualisation soit systématique à la suite de la réalisation des opérations, ce qui laisse une latitude tout à fait anormale, pour le Maire, en matière d’emplois. Il y a là création de deux postes. Le vote est tout de même acquis à l’unanimité, les élus « Un Nouvel Avenir » avaient souhaité la création de ces postes supplémentaires dès la convention de la police intercommunale, voire même auparavant. Vaut mieux tard que jamais.
Le courrier adressé au Maire pour l’interversion dans l’ordre du jour. Le Maire n’y fait pas réponse et n’y fait aucune allusion en réunion.
– Approbation du procès-verbal de la séance du 12 juin 2025.
– Décisions du Maire prises dans le cadre de ses délégations (Article L.2122-22 du code général des collectivités territoriales).
Après s’être excusé de ne pouvoir présente de ne pouvoir présenté le procès verbal du 12 juin, le Maire donne explication des dépenses déléguées. Lesquelles s’élèvent à près de de 100k€ depuis la dernière réunion. Le niveau annuel devient très élevé alors que nous ne sommes qu’au début du 7ème mois de l’année. Par ailleurs, la moyenne mensuelle dépasse très fortement la moyenne la moyenne mensuelle. Il reste à considérer que la plupart de ces dépenses restent en dehors du champ des décisions du Conseil des décisions du Conseil, voir du champ des réflexions des commissions. C’est fortement dommages.
Point de l’ordre du jour: l’appel des présents et la réalisation du quorum
Le Maire désigne Pierre HAUTOT comme secrétaire de séance, il y a 18 Conseillers présents alors que Corinne KAPUSTA a donné pouvoir à Pierre HAUTOT pour le groupe majoritaire dans lequel Emilie VERGALI et Adrien VERGALI sont absents excusés et Sabrina MASCOMERE à Gérard CHATIN pour le groupe Un Nouvel Avenir et que Beriza ZIEGLER est absente non excusée pour le groupe Force Développement Progressons Ensemble. Les trois groupes sont désormais à un taux de présence autour de 79%
Ce Vendredi 4 Juillet 2025, la Commission travaux s’est rendue au Théâtre, enfin quelques membre, nous n’étions que 3 accompagnés du DGS de la Commune, du responsable et de notre bibliothécaire. Cette visite avait pour principal objectif de voir le système de gradins rétractables de la petite salle du Théâtre afin de faire des choix sur l’auditorium de notre future médiathèque. Jusqu’ici, il était question de fauteuils rétractables mais le Théâtre a adopté un système de banquettes 2 places qui paraît tout à fait intéressant pour différentes raisons (coût, confort, nombre de places réelles,….). La visite nous a valu une démonstration qui démontre qu’en quelques minutes les gradins sont rangés après quelques opérations manuelles qu’un homme seul peut exécuter.
Martial DUFLOT (DGS de la Commune), Vincent DELIHU (Responsable des services techniques), Dorota WIELEZYNSKA (Bibliothécaire) et Xavier CROCI (Directeur du Théâtre)La visite devant les gradins rétractables
Il faut que les gradins soient repliés avant rétractation
La rétractation des gradins
Ensuite, nous nous sommes rendus dans la grande salle du Théâtre pour y voir les suspensions des systèmes d’éclairage. Là, travaillaient deux ouvriers d’une entreprise AMG Féchoz, interrogés ils confirment qu’il s’agit bien de la survivance de l’entreprise FECHOZ qui fut à Sainte-Geneviève à côté de FILECA jusqu’au début des années 1990. Elle a été rachetée et fait aujourd’hui partie d’un groupe important, elle a conservé ses métiers. L’histoire est intéressante, le hasard est curieux. Qui se souvient des tentes du Shah d’Iran sur la zone d’activité dans les années 1970?
Après nombre de réactions sur Facebook, suite à la diffusion du Guide pratique 2025 qui a connu quelques oublis et erreurs majeurs, l’adjoint à la Communication a, tout d’abord, chercher à s’en excuser sur le réseau social par rapport, notamment, aux professions médicales ou paramédicales (c’est pour cela que le sujet est traité sous cet angle). L’adjoint a cru bon d’y revenir en Commission Communication, ce mardi 1er juillet, en renvoyant la responsabilité à l’éditeur du guide qui aurait fait un « copier-coller » de la publication précédente. Un bref retour sur les deux précédentes éditions n’atteste pas cette explication.
L’édition 2019-2020, les professions médicales n’étaient pas installées au 70 Route Nationale,. Le guide est alors tiré par « France Régie Edition ». Nous sommes sous le précédent mandat avec Jacqueline VANBERSEL comme Maire.
Edition 2023
En 2025, on revient au précédent éditeur et format pourtant jugé « ringards » et les actualisations ne sont pas au rendez-vous. Mais quel « copier-coller » puisqu’entre les éditions se n’est pas les mêmes intervenants. La Commune doit rester l’organe de contrôle et doit valider par un « bon à tirer ».
Pour une autre pratique des Commissions municipales!
Edition 2019-2020
Une nouvelle édition en 2023, sous un nouveau format, un nouvel éditeur « Groupe Média Plus Communication », le précédent éditeur et son format étant jugé « ringard » par la nouvelle majorité dont pourtant plusieurs membres de l’exécutif sont issus, il faut bien se démarquer. Les professions de santé qui étaient déjà installées à Sainte-Geneviève sont arrivées au 70 Route Nationale et figurent bien à cette adresse dans ce guide 2023.
Edition 2025
S’il y avait un vrai travail collectif, des décisions prises en Commission, un contrôle au moins de celle-ci sur le contenu, un contrôle par les intéressé(e)s sur leurs données, enfin quelque chose de sérieux mais simple, il y aurait un peu plus de chances, de possibilités, que l’édition évite toutes ces erreurs et oublis. Une Commission municipale n’est pas un alibi que l’on convoque pour avoir bonne conscience comme cela a été le cas ce 1er juillet et quelques autres fois auparavant. C’est sûrement pour cela que nombre de membres, majoritaires comme minoritaires, ne viennent plus, ils n’ont pas envie de venir écouter un menu tout préparé par qui que ce soit. Ils ont le souhait de participer à l’élaboration de la carte. En conclusion, il semble qu’il n’y ait pas eu « copier-coller » du prestataire mais défaut de contrôle par l’adjoint à la Communication sur cette édition qui, par ailleurs, a cru bon de ne pas respecter d’autres consignes par des personnes concernées.