Un document avec plans et croquis a été présenté, il y a quelques années à certains membres du Conseil municipal. Il ne l’a jamais été à l’ensemble du Conseil.
Nous le publions ici, avec des commentaires par vue. A vous d’apprécier.
Ce dessin montre la façade visible de la Nationale (en haut), sur laquelle donneront les cabinets médicaux, et celle visible de la Rue Lejeune (en bas). Un immeuble d’un rez-de-chaussée et un étage. Continuons la visite….
Cette autre vue montre l’immeuble de l’intérieur du projet, si elle peut être intéressante, elle incite à poursuivre
Ici le plan du rez-de-chaussée avec ses 5 cabinets médicaux prévus initialement. Ils ont été ramenés à 4, ce plan n’est donc déjà plus d’actualité. Le cabinet de 49,6m2 a été supprimé faute de candidature, mais en a-t-on cherchée d’autres? En remplacement de ce « cabinet » supprimé et en prolongement de celui-ci, 4 logements
Ici, les 4 logements (devenus 5 après le retrait d’un cabinet médical) en prolongement des cabinets médicaux. Enclavé à l’intérieur, un parking.
Ce plan du niveau 1 présente les 10 logements qui seront réalisés. Comme on peut le voir, il y a différentes tailles de logements du F2 au F5
Ce dernier plan montre l’ensemble de l’opération qui avec ces 20 pavillons locatifs + 14 logements (15 en réalité) constitueront un groupe de 34-35 logements et le regroupement des professions médicales déjà implantées dans notre Commune: un généraliste (le docteur Patrice VAGNER, nos 4 infirmières -tous deux déjà installés au 33 Route Nationale; et un dentiste (le Docteur MASCARENHAS) déjà installé allée du Bois du Château.
Il n’est pas inutile de rappeler ici que l’ensemble sera géré par l’OPAC Office Public d’Aménagement et de Construction) de l’Oise et que si un cabinet médical vient à être libre pendant plus de 6 mois (départ en retraite, départ, ….), le local libéré deviendra un logement
En conclusion, il aura donc fallu plus de 20 à cette majorité pour ne pas réaliser une maison médicale, mais produire 35 logements implantés dans des conditions d’urbanisme douteuses en qualité. En effet, la Rue Lejeune qui connait une circulation importante, et en croissance, aurait pu bénéficier de réaménagements qui permettent d’assurer de bonnes conditions. Il en va de même de la rue de Lachapelle. Il paraît même difficile de réaliser des trottoirs dans l’espace restant. Le GRG avait, en son temps, en mars 2016, fait des propositions, adressées à l’ensemble du Conseil municipal, elles n’ont jamais été discutées.