Dans le Courrier picard (23/05/19): aménagement du centre bourg, culture et écoles…
Un bel exemple de revitalisation de centre en travaillant les questions scolaires et culturelles
Voeux tardifs, réalisations inexistantes… (les crocs génovéfains sur l’Echo Génovéfain de mars 2019)
Elle doit en vouloir des choses, cette Maire qui, pour la 3 ème fois cette année, nous adresse ses voeux en cette fin mars dans un bulletin municipal. Mais en politique municipale, ou non, ce ne sont pas les voeux qui comptent mais les actions. Qu’importe sa fierté à propos de ses petits enfants soient instruites dans une haute école de notre république pendant que nos enfants sont, eux, dans un préfabriqué comme classe et quelques autres bricolages, et qu’ils déjeunent dans une salle super polyvalente…. Avec ce Maire et sa majorité, nous n’avons pas les mêmes valeurs, les mêmes soucis….
Lire la suiteQuand une Commission décide la construction d’une classe (extrait de nos Echos du Conseil du 19/12/18):
Encore un projet coûteux et inadapté aux besoins et dont la décision
est prise en coulisse. Construction d’une classe dans la cour de Pauchet et réalisation d’une cour de récréation dans un terrain derrière la construction. On continue à bricoler…
4) Animations pédagogiques 2018-2019 – Participation communale:
Madame le Maire donne la parole à Daniel VEREECKE, adjoint aux affaires scolaires.
Celui-ci présente les projets de l’année en lisant un document
Il évoque un coût global de 62 000€ sans pour autant indiquer ce qu’il contient.
Pour l’année les animations prises en compte sont une sortie en centre équestre pour l’école maternelle financée par la Commune pour 4 400€. Le carnaval qui recevra un financement de 200€. Ainsi qu’un projet Artistique et Culturel par l’école Camille CLAUDEL pour 327€.
Il sera versé 12€ par élève soit un total de 6 204€de subventions annuelles aux coopératives scolaires.
Soit, pour Camille CLAUDEL 267 élèves X 12 = 3 204€
Pour Roger PAUCHET : 60 élèves X 12 = 720€
Ecole maternelle aux Jolis POMMIERS : 190 élèves X12 élèves = 2 280€
Soit un total de dotation de 11 131€.
Patricia BARBIER interroge pour savoir à quelle date est le carnaval des écoles. Daniel VEREECKE étonné par la question par le de mars ou avril puis semble s’arrêter à la date du 5 avril.
Le vote est voté à l’unanimité.
Commentaire : Sans….
5) Classe de découverte 2019 – Participation de la Commune – Fixation des tarifs – Modification:
Daniel VEREECKE conserve la parole et évoque le fait que 3 élèves en plus de ceux qui étaient prévus partiront à ce voyage et qu’il faut donc en revoir la dotation.
Il indique qu’il y a eu un rapport du Conseil d’école est qu’il a été adressé à tous les élus, plusieurs élus, plutôt parmi les minoritaires, font signe que non. Daniel VEREECKE s’en étonne et déclare qu’il fera « un petit envoi » non sans avoir reproché (on ne sait à qui) que cet envoi n’ait pas été fait.
Le coût du séjour sera donc de 30 212€, la participation des familles d e150€ par enfant, l’APEEPM apporte une participation de 10€ par enfant. La participation de la Commune sera d e204€ par enfant soit un total de 16 932€
Le projet est adopté à l’unanimité.
Commentaire : Encore une fois une note sur le sujet permettrait de délibérer dans de bonnes conditions surtout quand l’adjoint en tient l’équivalent en main. Encore une fois, un aveu (cette fois du 1er adjoint) sur la différence de traitement des élus… Enverra-t-il de quoi régulariser aux élus concernés ? On se rappellera que ce sujet avait déjà été présenté lors du précédent Conseil, le 15 novembre, et qu’il avait été l’objet d’échanges un peu confus entre deux adjoints…..
Hé oui, Le Compte rendu de Conseil d’école a été renvoyé le 20 au matin. Le voici joint:
Les échos du Conseil municipal du 19/12/2018, 20h30:
produit par le Génovéfain Net
5 personnes dans le public, pas de représentant de la presse.
Le quorum est atteint à 20h30.
Avant d’engager la séance Jacqueline VANBERSEL tient à préciser qu’elle souhaite que cette réunion se passe sans question ni polémique, elle évoque une situation de santé d’une belle-sœur difficile et va jusqu’à déclarer qu’en cas de difficultés, elle quitterait la séance. Elle indique pouvoir être appelé à tous moments.
Madame le Maire propose à Thierry REMOND d’être secrétaire de séance qui accepte.
Etaient présents: Jacqueline VANBERSEL, Daniel VEREECKE, Georges BERSON, Jacky BEAUDOIR, Dominique LABARRE, Bériza ZIEGLER, Pascal BREBANT, Pierre HAUTOT, Éric MAURIERAS, Anne-Marie KRAUZE, Céline TESSON et Isabelle DANINTHE pour la liste « Une équipe forte pour agir ensemble » (EFAE);
Gérard CHATIN, Patricia BARBIER et Thierry REMOND pour la liste « Un nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève »(NASG) ;
Lire la suiteNos Echos du Conseil du 15 Novembre 2018: les aveux…
produit par le Génovéfain Net
10 personnes dans le public dont un représentant de la presse, l’Observateur de Beauvais.
Le quorum est atteint à 20h30.
Nos Echos en téléchargeable PDF
Madame le Maire propose que Christelle MARIN soit secrétaire de séance mais Eric MAURIERAS lève la main et après quelques atermoiements est désigné.
Etaient présents: Jacqueline VANBERSEL, Georges BERSON, Jacky BEAUDOIR, Dominique LABARRE, Bériza ZIEGLER, Christèle MARIN, Pierre HAUTOT, Éric MAURIERAS, Anne-Marie KRAUZE, Céline TESSON et Claude GARDETTE (arrivé à 22h25) pour la liste « Une équipe forte pour agir ensemble » (EFAE);
Gérard CHATIN, Patricia BARBIER et Lire la suite
Le suivi de la délégation de marchés de Madame le Maire:
A la date du Conseil municipal du 13 Septembre 2018, l’arrêté des dépenses réalisées dans le cadre de sa délégation de marchés publics Madame le Maire a engagé 337 568,80€ depuis le début 2018.
Le détail avec les opérations menées et les fournisseurs utilisés, joint….
Au revoir et regrets… (article paru dans notre bulletin d’octobre 2018):
Après 31 ans de vie à Sainte-Geneviève dont 19 en qualité d’élu, mon épouse et moi même prenons la route vers un nouvel avenir afin de nous épanouir à la retraite.
En me lisant vous direz peut être si il s’en va, pourquoi il intervient dans ce bulletin.
J’interviens pour vous donner ma vision des choses et apporter des idées pour l’avenir de Sainte-Geneviève même si j’y vis plus, à ce jour on peut tous constater :
– Un village qui n’est plus propre, le désherbage fait complètement défaut, le balayage de nos trottoirs est inexistant, du mobilier urbain obsolète et surtout insuffisant (manque de bancs, de poubelles, de sacs à déjection canine…
Une salle super polyvalente qui sert de cantine, de salle de réunions, d’animations, de ceci, de cela, c’est limite honteux…
– Un Village qui construit n’importe où et sans penser à ses infrastructures : manque de bâtiment pour les écoles (classes surchargées), cour de récréation trop petite, salle des fêtes inadaptée, bibliothèque mal implantée, trottoirs défaillants (surtout sur la rue du Placeau), voierie en mauvais état ( formation de nids de poule en abondance),……
– Entrées et sorties du village par la D 1001 pas accueillantes, vous pouvez voir que les trottoirs ne sont pas réalisés complètement, que les arbres sont entourés par des buses de puisards, le fleurissement est remplacé par la pousse d’orties de ronces de mauvaises herbes, etc…
– Une police municipale qui n’a plus de directive donc qu’on ne voit plus ou pratiquement plus, occupée certainement par des tâches administratives autres que la sécurité de notre village. La mise en place des Voisins Vigilants, de plus à la traîne, ne remplacent pas ces derniers. La vidéo-protection qui a été évoquée depuis des années et toujours pas en place ne doit pas remplacer l’être humain.
La sécurité de tous est une priorité surtout de notre temps, où des drames se produisent aussi bien dans les grandes comme dans les petites communes. L’actualité est là pour en parler.
– Un plan de circulation doit voir le jour, revoir les intersections où des « stop » ont pris place sans que la visibilité soit au maximum. Le stationnement sur les trottoirs doit disparaître.
A l’emplacement de cette maison récemment détruite, on est très loin du projet de maison médicale annoncé depuis plus de 20 ans.
– Une maison médicale se fait attendre avec plus de services médicaux (encore une promesse qui recule au fil des jours)
– Un urbanisme en désarroi, aucun contrôle sur les permis délivrés, aucun affichage, des constructions réalisées sans autorisation, ni permis de construire.
Le village est victime d’une équipe municipale et surtout de ses dirigeants, Maire et Adjoints, qui manquent d’une ambition et de perspectives d’avenir. Ce qui est réalisé se fait au coup par coup, ces réalisations coûtent chères car elles n’ont pas été réfléchies, les subventions sont obsolètes car le montage des dossiers se fait dans la précipitation.
Pourtant, Sainte-Geneviève possède
beaucoup d’attraits mais il faut du changement, un grand changement, c’est vous qui devez en décider. Le retard s’est accumulé depuis près de cinq ans.
A tous ceux que j’ai côtoyés durant mes 31 années, à tous mes amis (les vrais, ils se reconnaitront) qui restent ici , je vous souhaite bonne vie et bon courage pour les prochaines années.
Philippe MARCOTTE
Ce texte nous a été adressé quelques jours avant son départ de la Commune par son auteur afin d’être publié. Nous souhaitons à Philippe et à son épouse que leur nouvelle vie se passe bien là où ils ont décidé de s’installer.
Dans Le Parisien (27/10/18): un article sur la situation scolaire à Cires-lès-Mello qui pourrait inspirer nos parents d’élèves….
Nos écoles ne sont peut-être pas dans un état aussi avancé de difficultés, mais le nombre d’enfants par classe est inquiétant, l’école maternelle s’est fortement dégradée, la restauration scolaire se fait dans une salle « super polyvalente », une classe campe en préfabriqué depuis 3 ans et rien ne pointe à l’horizon comme solution si ce n’est le restaurant scolaire, priorité de 2014, qui ne sera pas ouvert avant fin 2019?!….
Une rentrée pas si satisfaisante que cela…. (article paru dans notre bulletin d’octobre 2018).
C’est réellement se satisfaire de peu qu’annoncer cette rentrée
comme « sans problème… » comme a pu le faire le 1er adjoint pourtant en charge des affaires scolaires lors de la réunion de Conseil municipal du 13 septembre dernier. La situation ne s’améliore pas et les solutions sont encore loin à l’horizon…
Si la moyenne par classe en maternelle baisse (23,5élèves) puisqu’il y a 8 élèves de moins avec 188 élèves en tout, il n’en va pas de même dans le primaire qui avec 228 élèves (27,33 élèves par classe) nos écoles reçoivent 28 élèves supplémentaires. Les deux classes de Robert PAUCHET (CM2) sont à 30 élèves, ce alors que les classes de CE2 et CM1 sont soit à 28 ou à 26.
Nous ne nous étendrons pas ici sur l’éventuelle ouverture d’une classe qui aurait été proposée par l’Education nationale et n’aurait pas été suivie au regard du manque de locaux dans la Commune. Imprévision, encore….
Nous ne nous étendrons, pas non plus, sur la classe en préfabriqué qui a fait sa troisième rentrée malgré l’insatisfaction des parents et l’annonce de « provisoire » lorsqu’elle avait été installée. Il est vrai que quand on met plus de 200 000€ dans du provisoire, on veut qu’il dure….
Nous ne nous étendrons pas non plus sur le restaurant scolaire , priorité reconnue de toutes les listes, y compris la majoritaire, lors des dernières élections municipales de 2014, qui a vu ses travaux commencés au printemps dernier, a connu déjà la colère des éléments en plein mois d’août et qui ne devrait même pas être livré pour la dernière rentrée de cette mandature, mais quelques semaines plus tard, comme nous l’a annoncé, ce même 1er adjoint, avec un air un peu gêné de cette piteuse performance lors du même Conseil. Quelle sens des priorités. Il est vrai qu’il venait juste de découvrir qu’un Commissaire enquêteur lui indiquait que la voie qu’il avait imaginée pour se rendre à ce restaurant était insuffisamment large. A force de choisir la voie étroite, ce qu’il a toujours fait, on cherche à l’imposer aux autres….
Nous ne nous étendrons pas, encore, sur les personnes à qui l’on suggère d’aller inscrire leurs enfants à l’école dans une Commune voisine ou par rapport à leur lieu de travail, ou dont on envoie les enfants en restauration scolaire à Novillers les Cailloux…
Mais sans s’étendre dessus, tous ces « détails » sont des faits dont nos enfants, leurs parents, les personnels communaux et enseignants subissent les conséquences néfastes, les contraintes.
Il faut donc bien évoquer une rentrée pour laquelle il manque au moins deux classes, une bibliothèque digne de ce nom,….. Et quelques autres moyens que nous avons déjà évoqués en faisant des propositions sérieuses, raisonnables et adaptées, jamais lues, jamais écoutées, et sur lesquelles nous reviendrons en nous étendant dessus.
En ce jour de vote dans les écoles, parlons rentrée et réfléchissons à la situation… (extrait de nos Echos du Conseil du 13/09/1/):
- Questions diverses :
- a)Daniel VEREECKE qui a diffusé sur table un document présentant les effectifs par classe le commente:
Il indique qu’il y a 8 élèves en moins en maternelle mais 18 élèves en plus sur l’ensemble.
Il ne lui semble que la rentrée ait rencontré de difficulté.
Commentaire : On est heureux d’apprendre qu’il n’y a pas eu de difficulté… ? Mais rien n’est dit sur l’effectif moyen qui est en primaire de plus de 27,33 élèves avec plusieurs classes à 28 et 29 élèves et deux à 30 élèves. Il n’est rien dit de l’éventualité d’une ouverture de classe que nous aurions pu avoir… Où, c’est vrai ? Comment ? Pourquoi ? Certaines questions que feraient bien de se poser les parents d’élèves et leur association…
On s’écoute pas, on s’entend pas (extrait de nos Echos du Conseil du 13/11/18):
6) Acquisition d’une partie de la parcelle ZE N°86 par la Commune:
Madame le Maire donne la parole à Daniel VEREECKE qui informe que pour mener ce projet (construction du restaurant scolaire et implantation de l’ILEP) il a fallu faire l’acquisition d’un terrain de 1 577m2 au prix de 1,70€ le m2, le terrain étant exploité par un agriculteur il faudra lui verser une indemnité d’éviction de 0,08€ par m2.
Madame le Maire précise qu’en matière d’achat de terrain, c’est le 1er adjoint qui officiera comme le précise les textes.
L’acquisition est adoptée par 19 voix et une voix contre celle de Thierry REMOND.
A cet instant intervient un incident entre Claude GARDETTE et Amélie LIARD-VAGNER. Claude GARDETTE lance à Amélie LIARD-VAGNER « vous ne m’aimez pas ? » Interloquée elle lui répond « Je ne vous connais pas, je n’ai pas de raison de vous aimer…» Elle se lève et lui propose de prendre le secrétariat de séance en essuyant quelques larmes visiblement très marquée par les propos du Conseiller municipal. Madame le Maire demande à Amélie LIARD-VAGNER de faire preuve de courage. Martial ROZE se lève et demande à Amélie LIARD-VAGNER de reprendre la réunion tout en demandant à Claude GARDETTE et à Madame le Maire que des excuses soient faites.
Pierre HAUTOT ironise en déclarant « on verra cela plus tard, après la réunion…. »
La réunion reprend sur une explication de Madame le Maire sur ce qu’est la vie et ses difficultés en direction d’Amélie LIARD-VAGNER, les coups qu’elle a pris. Nos projets sont bien à l’échelle de la Commune conclut-elle
Commentaire : L’achat de ce terrain même s’il est indispensable n’aurait-il pas pu se faire plus tôt dans la réalisation de l’opération ? Il y a un peu une mise devant le fait accompli…. ?!
Le regrettable incident d’un conseiller de la majorité qui interpelle une élue minoritaire, secrétaire de séance, de façon déplacée et incongrue aurait mérité un rappel à l’ordre de la part de la 1ère magistrale de la Commune qui a préféré rappelé la « victime » à plus de courage que de faire preuve de justice ou de solidarité (féminine ou pas). Elle a tous les droits et ses proches ont son soutien apparemment.
Son apologie de ses choix politiques en un tel moment est parfaitement surréaliste.
Le PLUs de coût… encore un gâchis qu’ils n’ont pas loupé… (extrait du Conseil du 13/09/18
5) Déclaration du projet valant mise en compatibilité du Plan Local d’Urbanisme (PLU):
Madame le Maire donne la parole à Daniel VEREECKE qui rappelle les éléments du dossier. La commune possède donc un terrain de 11 160m2 sur lequel sont déjà implantés les tennis donc il reste 8 000m2 environ, précise-t-il, mais ce terrain qui n’était pas classé pour recevoir la construction de son siège projeté par l’ILEP. Il rappelle qu’il y a eu 3 réunions d’enquête publique sur lesquelles trois personnes se sont déplacées, il en cite les noms Marianne ALLMERSCH, Gérard CHATIN et Christelle LETERRIER.
Le Commissaire enquêteur s’il donne un avis favorable à l’adaptation du PLU signale qu’il faudra prendre en compte les réserves sur des points qu’elle a pu constater et que les personnes (citées plus haut) ayant participé à l’enquête ont soulevé, des questions se pose sur l’étroitesse de la voie qui ne permettra que deux véhicules se croisent sur celle-ci alors qu’un parking de 45véhicules est prévu au bout de cette voie. Il est évoqué aussi des nuisances pour les riverains au regard de la proximité des constructions envisagées.
Daniel VEREECKE indique qu’en réponse à la demande de la Commissaire
enquêteur la voie a été portée à 5,5m sur la partie la partie la plus importante de la voie, toutefois la partie qui ne permettra pas aux véhicules de se croiser sera gérer sous un système de priorité dans l’un ou l’autre sens, à définir. Cette évolution entraîne un surcoût de 45 000€.
Un permis de construire obtenu en février
2017 mais affiché en juillet 2018. Faites ce
que je dis pas ce que je fais….
Gérard CHATIN demande la parole et indique qu’il s’abstiendra, il reste favorable au projet de l’ILEP, en précisant qu’il considère comme anormal qu’un projet aussi majeur du mandat se conclut de façon aussi insatisfaisante. Un parking de 45 places va entrainer un turn over de véhicules bien plus important même s’il est difficile à évaluer : une crèche de vingt places, des salles d’activités, des bureaux donc des salariés et des visiteurs du siège de l’ILEP,…. Il rappelle que Thierry REMOND, en réunion de conseil, lui-même lors de la consultation de dossier, avait demandé si deux véhicules se croisaient et qu’il leur avait été répondu que oui…. !
Thierry REMOND souhaite savoir si l’ILEP participera à la prise en charge du surcoût ? Il rappelle son sentiment de manque d’intérêt de ce projet pour la population.
Daniel VEREECKE explique pourquoi que les travaux complémentaires sont liés au projet ILEP. L’ILEP participera au financement de la voie à proportion des places de parking dont elle disposera et donc au surcoût.
Pierre HAUTOT déclare que c’est bien l’intérêt du Commissaire enquêteur de révéler les problèmes.
La délibération est voté par 18 voix pour, une contre de Thierry REMOND et une abstention de Gérard CHATIN
Commentaire : Que la construction d’un restaurant scolaire qui constituait la priorité des élections de 2014 arrive si tardivement est déjà regrettable, qu’elle soit conçue de façon aussi étroite l’est tout autant, cette majorité est donc celle de la voie étroite, du retard et de l’imprévision. Le projet de l’ILEP est envisagé depuis au moins deux ans, cela circulait officieusement, n’aurait-on pu prévoir l’adaptation du PLU dans le cadre de la modification faite l’an passé ce qui aurait permis d’économiser près de 10 000€ d’honoraires et d’adapter la largeur de la voie sur toute sa longueur sans le bricolage qui nous est finalement proposé…. Il n’y aurait pas eu besoin non plus de cette nouvelle enquête publique….. ?!!!!! C’est flou, quel est l’intérêt de tout ce bazar….
Si la Commission urbanisme était réunie pour les projets, on éviterait peut-être ces erreurs coûteuses… réfléchir à plusieurs c’est mieux que faire les choses sous la pression en petit comité…
Dans le Courrier picard (4/10/18): indemnités des élus redistribuées!…
L’article complet en téléchargeable PDF
Nous, à Sainte-Geneviève, on a un peu l’inverse….. cherchez l’erreur?!…
Il est enfin affiché….
Dans la semaine qui vient de s’écouler, alors que les travaux de construction du restaurant scolaire sont commencés depuis plusieurs mois et que le permis est daté du 18 février 2017, le panneau vient seulement d’être installé. Sachant qu’il y a deux mois de recours possible sur toute obtention de permis et que tout constructeur qui aurait cette pratique de non respect de la loi pourrait voir détruit ce qu’il a bâti avant information obligatoire….. Ils se croient vraiment tout permis….
Dans le Courrier picard (8/08/18): on peut s’en inspirer…
L’article complet en téléchargeable PDF
Ce petit village, près de Clermont, nous montre que l’on peut innover, construire un groupe scolaire et financer partiellement par la revente d’anciens locaux….
Des réponses pas à la hauteur… (1er article du bulletin de juin 2018):
Pour la 5ème fois de ce mandat, outre ses défaillances techniques que j’ai soulevées ainsi que d’autres élus minoritaires d’ailleurs, le budget qui nous a été présenté en avril dernier ne répondait pas aux besoins de notre Commune. Je vais essayer de le démontrer. Il faut rappeler que notre Commune marque un retard d’investissement de plus de 30% au regard des communes comparables et ce alors que de nombreux domaines sont en retard d’équipements : classes, restaurant scolaire, bibliothèque, salle socio-culturelle, aucun local pour le club du 3ème âge, réfection de voies et trottoirs,….
Parlons de la procédure budgétaire pratiquée dans notre Commune. Certes il n’y a pas obligation d’avoir de débat budgétaire comme dans les Communes de plus de 3 500habitants, mais alors que notre Maire et sa majorité se félicitent d’avoir passé le seuil des plus 3 200 habitants, rien n’empêcherait d’aller au-delà des textes et d’avoir une réflexion collective sur les priorités locales. Cette « réflexion » (le mot est-il approprié ?) est réservée à quelques-uns, on ne sait où ? on ne sait comment ? La procédure budgétaire se résume donc à l’envoi d’un document de plus d’une centaine de pages, trois jours avant le vote… aucune note d’orientation et/ou d’explication sur les choix faits n’y est jointe. Celui qui ose poser des questions entre la réception du document et le Conseil a intérêt à avoir blindé ses interrogations, il en va de même en Conseil… On a vu, votez…. Il ne faut tout de même pas oublier que l’élu qui vote engage sa responsabilité….
Parlons maintenant du contenu de ce budget. Cette année, nous avons même eu droit à un compte comme celui du CCAS sans budget ?…
Dans ces copies de documents budgétaires, la colonne de droite pose les chiffres du budget 2017 et celle de gauche ceux du budget 2018 proposé.
Un compte de produit de traitement doté de 27 fois la somme de l’année précédente alors que nos
Communes sont censées ne plus en utiliser. Il nous a été garanti que c’était le cas ?! Plus quelques autres bizarreries en fonctionnement….
Dans l’investissement, on retrouve la priorité – depuis au moins dix ans – de la salle socioculturelle dont il nous a été annoncé un coût de près de 1 000 000 d’€ pour sa réalisation, seulement dotée de 10 000€ supplémentaire en 2018. On apporte 44 000€ à la bibliothèque en apprenant, par hasard, que ce budget devrait permettre d’installer un ascenseur pour autoriser l’accès aux personnes à mobilité réduite, quelle ambition ? Le programme du restaurant scolaire est lui tout juste doté de 1 650 000€ au niveau des prévisions annoncées… y a pas intérêt à avoir de surprise ?! La vidéo-protection ne bénéficie que d’un crédit de 73 600€ alors qu’en janvier dernier on nous annonçait qu’une dépense de plus de 128 000€ avait été engagée pour ce programme ?!… Apparait, ensuite la réalisation d’un parking rue des Aubépines pour une dotation budgétaire de 26 000€, certainement très utile mais à quel moment l’a-t-on décidé ? Je suis membre de la Commission urbanisme, elle ne se réunit que quand c’est obligatoire (révision, modification du PLU) jamais autrement? Ce sujet n’a jamais été évoqué.
Donc, dans ce budget il n’y a pas de quoi faire face aux besoins d’une nouvelle classe alors que l’on en a déjà une qui campe en préfabriqué depuis deux années scolaires et 22 élèves en plus prévus en septembre prochain, à la question d’une vraie bibliothèque fut-elle programmée dans le temps, de programmes sérieux de réfection de nos trottoirs et voies de circulation, pas non plus de bassin de traitement des eaux pluviales dont les effets sont fortement ressentis dans certains quartiers, la question des équipements nécessaires à une vie sociale et culturelle est renvoyée aux calendes de je ne sais où, ainsi que celle d’une vraie maison de santé.
Ce budget manque de sens c’est pourquoi, sans doute, il n’a pas besoin de débat d’orientation. Il n’a pas eu ma voix, il n’en avait pas besoin. Les 17 majoritaires présents ou représentés auraient suffi pour l’appliquer….
Gérard CHATIN
Conseiller municipal minoritaire
« Un nouvel Avenir pour Sainte-Geneviève